Qui suis-je vraiment? 07

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Ass

Soit belle et tais-toi:

A nouveau mon amant disparu de la circulation. Peut-être pour me laisser le temps de souffler, mais j’en doutais. Je conjecturais plus sur son caractère machiavélique à savoir me laisser ressasser ce que j’avais osé faire, et de fait échauffer mon imagination sur ce qui risquait de m’attendre. Situations auxquelles j’allais à inévitablement répondre positivement vu la cochonne que j’étais devenue.

Concrètement et en attendant l’appel inévitable de mon homme, j’en profitais pour retourner voir l’esthéticienne qui m’épila mon sexe comme le souhaitait mon amant.

Une fois arrivée, son regard autoritaire et froid me glaça à nouveau le sang. Je n’arrivais pas à la regarder en face plus de cinq secondes. Elle s’en rendît compte, et réagit par un petit sourire en coin malicieux.

Elle me fît alors rentrer dans un des salons. La porte fermée, elle m’interpella :

– Esthéticienne : Comme la dernière fois Madame veut avoir son minou tout lisse?

– Moi : Oui, s’il vous plaît?

– Alors mettez vous à poil tout de suite!

– Euh, … cela ne se fait pas trop de parler comme cela aux clientes … Et, Euh, … je ne vous permets pas d’ailleurs d’être aussi malpolie.

– A bon, alors j’ai du me tromper sur votre compte. Eh bien, vous n’avez qu’à allez voir une autre esthéticienne qui acceptera de vous faire cela avant que votre petit chéri vous revoit.

Je ne m’attendais pas à ce genre de propos, et en réfléchissant quelques instants, je compris qu’elle avait sûrement raison. Mon amant en effet n’apprécierait guère de me voir à nouveau poilue. Je baissais la tête et commençais à me dévêtir. Cette « renonciation », fît sourire l’employée.

– Esthéticienne : C’est bien ce que je pensais, on aime plus que plaire à son homme, on est totalement sous sa tutelle. N’est ce pas?

– Moi : Euh, et bien je ne sais quoi répondre … Oui, je l’aime éperdument au point De faire ce qu’il me demande.

– En clair Madame la bourgeoise est une bonne salope quand Monsieur lui ordonne!!!

– Vous ne pouvez pas dire cela!

– Je vais me gêner. Ou tu prends la porte ou tu fais ce que je te dis. Bon presse toi ; que décides tu?

– Euh, en fait,

– Tu vas répondre!

– Euh, euh, C’est bon , c’est bon, je reste.

– Non ce n’est pas si bon que cela. Vu ton comportement, on va fixer quelques régles toutes deux.

– Quoi?

– Eh bien faisons comme s’il m’avait délégué ses pouvoirs. Couches-toi et écartes bien les jambes que je mate ton sexe poilu.

– Mais ….

– Allez grouille toi, je suis sûr que je ne suis pas la première à l’avoir vu ton minou et pas seulement pour une épilation ou une visite médicale. N’est ce pas?

– Euh,…eh bien … en fait…

– Fais pas ta minaude, aller accouche!!!

– Oui je me suis déjà exhibée devant des inconnus.

– Et bien tu vois quand tu veux… Bon pour m’avoir fait attendre tu vas écarter tes lèvres.

Comme elle l’exigea je m’allongeais sur la table et écartais mes jambes pour lui faire admirer mon sexe. Mais d’un regard ferme et explicite, je n’eus pas le temps de négocier et dus avec mes doigts écarter mes lèvres roses afin d’exhiber mon antre.

Sans attendre elle passa son pouce entre ces dernières et me fît admirer son état luisant ensuite pour clairement souligner mon état d’excitation. Malgré moi, je piquais un fard ce qui ne passa pas inaperçu.

– Esthéticienne : T’aime cela qu’on te rabaisse. Regardes-tu mouilles dés qu’on t’oblige à écarter les jambes. Tu n’es vraiment qu’une petite chienne en chaleur. Bon, vu que tu mouilles abondamment je ne vais pas t’épiler mais te raser…

– Moi : Comme vous le souhaitez.

– Oui, mais pour faire des économies, je ne vais utiliser aucune mousse à raser. Je vais juste t’enduire de ta mouille abondante en guise de crème.

– Non je vous en prie.

– Arrêtes de maugréer, tu n’attends que cela.

Sans attendre et tenir compte de mes complaintes elle commença à titiller mon clitoris, puis à me pénétrer de ses deux doigts précédemment gantés pour me faire lubrifier. Elle faisait aller et venir ses doigts rapidement dans mon vagin. Je commençais à haleter tellement cette esthéticienne manipulait avec expertise les moindres parties de mon sexe. Une profonde chaleur commençait à envahir tout mon corps, mais la jouissance qui normalement doit suivre n’arriva point. En effet, ma tortionnaire coupa court la masturbation et badigeonna mon bas-ventre.

J’étais frustrée, mais elle ne prît pas la mouche pour autant.

– Esthéticienne : Je ne suis pas payée pour branler les clientes. En tout cas Madame fait moins de convenances maintenant. On dirait même qu’elle en redemande. Je me trompe?

– Moi : Comment osez-vous Escort Bahçeşehir dire de telles absurbdités!

– Comment? Réponds à ma question honnêtement ou je te vire de ma boutique manu militari dans le plus simple appareil.

– Non!! En fait oui, je vous réponds.

– Exprime-toi!!!

– Euh vous avez raison. J’allais prendre du plaisir et vous vous êtes arrêtée au meilleur moment.

– Tu n’es vraiment qu’une salope. Passons au rasage donc!!!

Elle prit le rasoir, y mît une lame neuve, et démarra le rasage par le haut de mon pubis. A chaque passage je sentais le feu du rasoir relancer mon excitation.

Elle poursuivît en passant la lame le long de mes lèvres. Son expertise lui permît de répéter ces mouvements avec une extrême rapidité sans me blesser. Une fois terminée j’étais au bord de l’extase sans toutefois franchir la frontière invisible me barrant la jouissance.

– Esthéticienne : Bon on va passer à ton derrière. Tu vas te mettre à quatre pattes par terre et écarter tes fesses pour que je puisse te nettoyer de ce côté aussi.

– Moi : Mais pourquoi par terre?

– Par ce que c’est ta place tout simplement.

– Mais …

– Il n’y a pas de mais qui vaille!!!

Elle accompagna ces mots en tirant fortement sur mes lèvres nouvellement lisses. Elle n’eût pas besoin de me répétais le message et je m’agenouillais le plus rapidement possible sur le carrelage glacé.

Sentant que je n’aurais aucune pitié de sa part, je prenais immédiatement mes globes fessiers entre mes mains et les écartais afin d’admirer ma raie. La position était fortement inconfortable, et mes abdominaux ne me permettaient pas de garder mon torse parallèle au sol. Epuisée après une minute ainsi, je m’affalais et écrasais mon front sur le sol.

Sans attendre plus longtemps elle étala une fine crème blanche sur cette zone devenue fortement érogène et passa avec autant de dextérité la lame. Le résultat était une fille totalement imberbe prête à donner ses trous à son amant. Mais en fait, la première personne à en profiter fût l’employée qui m’appliqua une base hydratante. Produit qu’elle utilisa pour me forcer l’œillet à l’aide de son index.

Une fois, mon anus acclimaté, elle entama des mouvements vifs. La douleur initiale s’atténua et laissa place au plaisir que je connaissais si bien maintenant. Pour s’assurer de ma capitulation totale, l’esthéticienne prît de son autre main mes lèvres roses entre son pouce et son index. C’est alors qu’elle les frictionna l’une à l’autre.

M’ayant laissée sur ma fin quelques minutes plus tôt, j’eus vite fait de succomber à ce traitement et je me mis à glousser. J’étais vaincue.

– Esthéticienne : Tout ceci mérite un pourboire. Non?

– Moi : Oui je le pense. Je vais me rhabiller d’abord.

– Pas la peine, je veux un pourboire spécial.

De ces deux mains elle dégrafa les trois boutons du bas de sa blouse et empoigna les deux parties pour les relever illico. Le spectacle était inédit pour moi. Sans aucun dessous, je pouvais admirer un sexe féminin taillé finement en forme de panneau de signalisation triangulaire indiquant un danger ê

Mes dernières résistances s’évanouirent, je m’approchais donc de son pubis et me mis à le caresser doucement avec la paume de ma main. Toutefois, ces délicatesses ne suffirent pas et d’un geste autoritaire elle m’intima l’ordre d’appliquer désormais ma bouche et ma langue sur sa vulve.

De petits bisous en baisers plus langoureux, j’en vins à passer ma langue sur ces lèvres. C’était étrange pour moi de lécher les parties intimes d’une femme. Je connaissais si bien cette anatomie et les endroits à caresser pour faire monter le plaisir, toutefois je me décidais à la faire languir tout comme elle l’avait fait pour mon cas.

Je suçais son clitoris puis j’aspirais ces lèvres pour enfin pénétrer son vagin avec ma langue. Ce traitement appliqué pendant cinq minutes la fît chavirer. Elle m’en gratifia en déversant sur mes lèvres son liquide vaginal que je tétai sans contrainte.

La tête froide, elle remît sa blouse en ordre puis m’enjoigna de me rhabiller moi aussi.

– Esthéticienne : Voici ma carte, tu la donneras à ton homme. Peut être sera-t-il intéressé pour que je te fasse ton éducation homosexuelle.

– Moi : Je la lui donnerai.

– Au fait pour le retour pas besoin de culotte.

– Mais il fait très froid dehors.

– Ca te maintiendra éveillée.

C’est donc cul nul que je rentrais chez moi, prête à m’exhiber intégralement quand mon maître pourrait me l’ordonner.

Costume théâtral:

Cela se produisit une semaine plus tard.

Un soir, sur les coups de 18H00, Nietzsche m’appela pour passer la soirée ensemble. Ce qui m’intrigua Bahçeşehir Escort Bayan tout particulièrement fût le fait que Nietzsche me laissa libre des vêtements que je devais porter.

J’optais donc pour des bas auto-fixants assortis d’une culotte Tanga en dentelle. Comme cela je respectais le contrat tacite avec mon amant mais je me donnais un peu de liberté par rapport aux règles strictes de mon maître. Par-dessus, je me décidais de porter une robe souple et longue mais ouverte devant jusqu’au genou du fait des boutons laissés défaits. Cette robe allait d’autant plus le charmer qu’au-delà de mes hanches elle épousait particulièrement mon corps et de fait mes seins. Cela soulignait par là même le soutien-gorge noir en dentelle qui les retenait.

Une fois habillée, je descendais donc laissant mon enfant dans les mains de sa nounou favorite.

En attendant dehors sur le trottoir je compris que la liberté donnée par mon maître ne m’avait pas fait choisir pour autant la tenue la plus confortable, mais une tenue bien sexy pour la saison. En effet je sentis l’air glacial s’infiltrer entre mes jambes, me rappelant qu’elle nouvelle femme j’étais devenue.

Sur ces réflexions il arriva et stationna à quelques mètres de moi. Il prît alors la peine de sortir de la voiture pour m’ouvrir la porte. Il me demanda seulement de remonter ma jupe afin que mes fesses soit à même le siège. Sans rechigner je remontais immédiatement le tissu, lui laissant admirer mes jambes gainées jusqu’à mi-cuisse ainsi que ma fine culotte. Sans un mot et sans me laisser le temps de m’asseoir, il prît le bout de dentelle remontant de mon entrejambe et le tira d’un coup sec afin qu’il s’immisce dans mes fesses et ma vulve. J’eus un sursaut mais ne réprouva pas le geste. C’est donc le bas-ventre cisaillé que je m’installais dans la voiture.

Remonté à son tour dans l’automobile, il démarra et se dirigea vers Paris.

– Nietzsche : Remonte ta jupe pour dévoiler le haut de tes bas aux passants.

Je respectais ses ordres à la lettre et d’un mouvement lent je rehaussais le tissu jusqu’à la lisière des bas. Le noir tranchait d’autant plus avec la blancheur de mes cuisses. Le fait de respecter sans mot dire ses demandes, le satisfit pleinement. Il en profita alors pour entamer la discussion.

– Nietzsche : Je ne t’ai pas trop manqué Laurence?

– Moi : Si, un peu … même beaucoup Nietzsche.

– En attendant que nous arrivions je veux que tu écartes tes jambes et que tu te caresses.

– Mais où allons-nous.

– Surprise!!!

Ne cherchant pas en savoir plus je commençais à me caresser dévoilant ente çà et là ma culotte aux voyeurs occasionnels ou à deux motards chanceux.

– Nietzsche : Mais tu t’es épilée! … Je t’en remercie.

– Moi : Oui et l’esthéticienne a tenu à ce que je vous donne sa carte de visite pour que vous la contactiez si vous souhaitez parfaire mon éducation entre femmes.

– Parce que tu as eu une relation lesbienne.

– Euh oui elle m’a forcée.

– Te connaissant elle n’a pas eu grand mal …et je suis sûr que tu as aimée te faire bouffer la chatte ou l’inverse.

Bien visé comme d’habitude, je baissais donc les yeux avouant ostensiblement ma faiblesse.

Nous arrivâmes après 20 minutes de route devant une petite boutique aux vitres fumées. Il me fît rentrer dans ce magasin dont le propriétaire la cinquantaine aux cheveux grisonnants semblait nous attendre.

– Nietzsche : Bonsoir, je vous présente Laurence, ma compagne.

– Vendeur : Bonsoir Monsieur, bonsoir Laurence. Que recherchez-vous?

– Je cherche une tenue pour révéler ses charmes cachés mais aussi un vêtement qui puisse disparaître d’un seul geste.

– J’ai ce qu’il faut pour vous je crois.

Sur ces entre faits il partit dans la remise chercher le dit objet. Passé la joie d’entendre Nietzsche me nommer sa compagne, je fus refroidie par l’objet qu’il souhaitait m’acheter. Mais je compris vite que le magasin était spécialisé dans ce domaine. Entre le cuir et la transparence, il y avait peu de place pour le pull col roulé en laine.

De retour, il me tendit le vêtement à essayer. Je cherchais vainement la cabine d’essayage quand le vendeur me dît :

– Vendeur : Si vous cherchez une cabine d’essayage, il n’y en a pas ici.

– Nietzsche : Tu ne vas pas faire ta mijaurée maintenant. Mets-toi à poil ici!

Je me dénudai donc sous leur yeux défaisant un à un les boutons. Je ne devais pas aller suffisamment vite car mon amant écarta vigoureusement les pans de ma robe et tira dessus pour qu’elle tombe à mes pieds. Le vendeur bras croisé se régala de la brusquerie à laquelle Nietzche m’avait dessapé. Son regard en fût d’autant plus avide à mon Bahçeşehir Escort encontre.

Un peu déboussolée, je me penchais en avant pour enrouler un à un mes bas. Dans un telle posture, le vendeur prît alors la liberté de passer la main sur mes fesses puis brusquement agrippa mon Tanga pour le descendre au niveau de mes mollets. Je tentais de me relever mais mon mouvement fût immédiatement refreiné.

– Nietzsche : Tu ne bouges surtout pas, laisse toi faire, sinon tu auras droit à une belle fessée.

– Vendeur : Quel beau cul, cela donne envie de le manger.

– Nietzsche : Ne vous gênez pas. Elle adore cela.

Sans autre mot il se mît alors à écarter mes globes fessiers pour insérer sa langue dans mon intimité. Je ne bougeais plus, sentant la honte me gagner mais aussi l’excitation avec cette langue titillant ma vulve puis mon anus. Cet homme était un expert dans les caresses buccales, mais il devait s’en douter car je sentais mon sexe s’humidifier rapidement. C’est à ce moment qu’il sortit son visage de mes fesses, pour le remplacer immédiatement par son sexe qu’il avait avec dextérité libéré prestement de son pantalon.

Son pénis n’eût dés lors pas de mal à rentrer dans mon vagin. Toujours courbée je sentis très rapidement son ventre frapper mes fesses. Ses mouvements étaient fermes mais délicieux, il emplissait une bonne partie de mon vagin, quant à son bout il frappait à chaque fois mon utérus. Oui c’était exquis et j’espérais que cela dure le plus longtemps possible.

Mais Nietzsche ne l’entendais pas ainsi et m’indiqua qu’il était temps travailler un peu, en d’autres termes de le sucer pendant que le vendeur me pénétrait de plus en plus vigoureusement.

Avec les coups de butoir du vendeur je m’empalai littéralement contre le sexe déjà bien ferme de mon amant. Ce dernier pour affirmer sa position de dominant enserra alors ma tête de ses mains pour imprimer la vitesse à laquelle je devais pratiquer mes caresses buccales.

En fait quand le vendeur se retirait de mon vagin, je m’occupais du bout turgescent de Nietzsche en passant la langue brièvement dessus. Et quand il me pénétrait j’avalai la hampe jusqu’à son pubis. J’étais prise des deux côté tel un poulet au tournebroche. Situation qui naguère m’aurait choquée était devenue une position génératrice de plaisir.

La jouissance vint rapidement mais elle n’arrêta point mes acolytes qui me forcèrent à m’agenouiller pour recevoir leur semence sur le visage.

– Nietzsche : Merci Laurence. Tu peux te nettoyer en mangeant le savoureux liquide que tu as sur ton visage.

– Vendeur : Tu as l’air bien gourmande je suis sûr que tu ne laisseras aucune miette.

Passant mes mains sur mon visage je recueillis la dite substance et passais la langue pour pouvoir l’avaler. Pour finir ils passèrent un mouchoir afin de faire disparaître les dernières traces de leur éjaculation.

– Nietzsche : Laurence. Mets maintenant la robe.

Sans aucune pause, je me relevais et essayais le vêtement présenté.

– Vendeur : Comme vous le voyez elle est suffisamment transparente pour que l’on devine ses dessous, en particulier à contre-jour.

– Nietzsche : Oui je vois çà. Cela me plaît tout à fait.

– Vous voyez cette accroche en haut?

– Oui je vois.

– Dégoupillez-la!

En un dixième de seconde, la partie avant de la robe s’affaissa dévoilant mon soutien gorge. Un rectangle de 10 cm de haut et de la largeur de mon corps avait disparu rendant cette robe très impudique.

– Vendeur : Alors qu’en dites vous?

– Nietzsche : J’adore, en plus elle lui va comme un gant.

– Attendez ce n’est pas fini.

– A bon?

– Regardez cette cordelette.

– Oui.

– Tirez dessus d’un coup sec.

Sans que j’ai eu le temps de réagir la robe se releva tel un rideau de théâtre jusqu’au haut de mes cuisses. Mais comble de l’exhibition en son centre le tissu était remontait au dessus de mon sexe.

– Nietzsche : Je n’ai qu’un mot … Bravo. Je l’achète.

– Vendeur : Je vous conseille avec cela une guêpière en cuir.

– Pourquoi pas.

Ils me firent par conséquent essayer cette guêpière qu’ils serrèrent au maximum enserrant ma taille et remontant mes seins de sorte qu’ils renforcent la convoitise des mes admirateurs.

Une fois expliqué comment la robe pouvait être remise dans sa position sobre je dus me déshabiller pour remettre mes vêtements précédents.

Nietzsche coupa mon geste et m’indiqua que le seul vêtement que je devrais porter pour sortir fût son manteau en laine mais non fermé bien sûr afin de faire admirer ma nudité. Son geste fût apprécié à sa juste valeur par le vendeur qui proposa de me faire bénéficier de prix préférentiels si je revenais vêtue ainsi.

Je sortis donc ainsi et d’un pas rapide atteignis la voiture. Au moment de m’ouvrir, Nietzsche demanda de lui redonner son vêtement. Totalement nue, les seins tendus en raison du froid je m’installais dans la voiture toujours honteuse de la tenue dans laquelle j’étais mais aussi apeurée par la suite des évènements qui m’attendaient.

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