Sexy comme le diâble

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Sexy comme le diâbleYesss. La Saint-Valentin arrive à grands pas et quelle Saint-Valentin cette année. Pour ceux qui lisent mes petites histoires, vous connaissez sûrement Denis et Sylvain, ce couple qui donne de majestueuses réceptions dans leur domaine à la campagne. Et bien samedi prochain, je suis invité à célébrer la Saint-Valentin chez eux.Bien entendu, qui dit réception chez ce couple dit costume et là, chaque invité doit être déguisé en Cupidon. J’ai donc fait une recherche sur le web et je dois avouer que les costumes sont plutôt moches. On y trouve que des jupettes en coton et pour ceux qui me connaissent, ce n’est vraiment pas mon genre. En parlant avec des amis, l’un d’eux me signala qu’il connaissait un mec qui, par temps perdu, confectionnait des vêtements de cuir. Par contre, ne sachant pas trop ce que je désirais réellement, je pris donc rendez-vous avec ce mec, me disant que je perdrais mon temps mais bon…Donc, un jeudi soir, il y a de cela un mois, je me rendis chez lui après le travail. Il demeurait à quelques minutes du bureau. Lorsqu’il ouvrit la porte, je vis un mec début trentaine, plutôt grand et très mince. Pas du tout mon genre. En plus, blond de surcroît. J’entrai donc et pris place au salon où m’attendait un catalogue de ses créations. Dès les premières images, je fus surpris de son audace. Nous n’avions pas affaire à de simples pantalons de cuir. Je me dis qu’en fin de compte, peut-être trouverait-il quelque chose à créer pour la circonstance. Je lui expliquai alors que je désirais un costume sexy, très sexy, moulant et il sourit, me disant que j’avais un body pour porter quelque chose de moulant. Aussitôt, il se mit à me décrire ce qu’il imaginait pour moi et enchanté, j’acceptai tout de suite sa suggestion. Il me dit alors que je devais me déshabiller complètement pour prendre les mesures exactes. Vous me connaissez, exhibitionniste comme je le suis, ça ne me gênait pas du tout. Je m’exécutai et il fit ce qu’il devait faire et je renfilai mes vêtements. Il communiquerait avec moi par texto, me faisant parvenir des photos pour que je puisse lui dire si j’aimais ou non.Pendant trois semaines, les photos que je reçues me plaisaient bien et je lui donnai mon consentement pour terminer le costume. Et c’est là que commence réellement cette histoire, alors que samedi passé, à quatorze heures, je me rendis chez lui pour un essayage. Lorsque je vis le costume, tout ce qui sortait de ma bouche était wowwww. Ça me coûtait une petite fortune mais je ferais sûrement sensation chez Denis et Sylvain. « On ne peut pas faire l’essayage par-dessus ton jeans », me dit-il, comprenant que je devais encore me dévêtir devant lui. Et il me présenta ce qui allait habiller mon sexe. Pour commencer, un jockstrap moulé en cuir rouge sur lequel il avait collé de minuscules pics de métal. J’avoue qu’en me regardant dans le miroir, c’était plutôt sexy et surtout invitant pour un mec en chaleur. Et c’est alors qu’il me présenta ce qui allait par-dessus; une large lanière de cuir, agrémentée elle aussi de pics de métal. Au devant, elle contournait par le haut pour laisser voir mon jockstrap et derrière, moulant mon cul à souhait, on y trouvait une fermeture éclair de sorte à offrir mon trou de balle à qui le voudrait. « Et à quoi servent les deux lanières devant? istanbul escort » demandais-je, intrigué. Il me présenta alors deux jambières, toujours de cuir, qui allaient être bouclées à ces lanières. Je les enfilai aussitôt et l’image que me présentait le miroir était fabuleuse. J’aimais bien car le tout moulait mon corps et c’est ce que je voulais. Et c’est en me retournant que je l’aperçus. Il était là, dans la cuisine, l’épaule appuyée contre le mur, et il me regardait. Je dirais plutôt qu’il se délectait de ce qu’il voyait. De savoir que je pouvais l’exciter dans ce costume me rendait très fébrile. Et contrairement à ce jeune designer trop mince, lui entrait parfaitement dans ce genre de mec qui fait de moi un être super sexué. Je lui donnais environ trente ans. Cheveux bruns très courts, barbe taillée. Il était vêtu d’une combinaison tout en un, blanche, et qui se glissait très bien le long de ses courbes. La devanture était marquée par des boutons pressoirs, de sa poitrine jusqu’à son sexe qui se dessinait très bien sous le matériel. Il était super sexy mais je n’étais pas là pour m’exciter sur un mec. Il fallait terminer cet essayage et le miroir était là pour moi. Mon regard se pointait sur mon image mais je n’avais qu’une idée en tête, exciter ce beau mâle qui me matait sans gêne. Je me plaçai donc dos au miroir pour examiner mon cul, glissant ma main sur le cuir rouge et j’eu la brillante idée de tester la fermeture éclair. Lentement, je la glissai vers le bas et fis un demi tour sur moi-même pour offrir au mec mon arrière-train, feignant bien entendu de ne pas tenir compte du fait qu’il me reluquait. « J’aime bien cette fermeture éclair, elle sera sûrement pratique, dis-je au grand blond qui examinait son œuvre avec contentement. Et ces jambières sculptent bien mes jambes ». « Il te restera à te procurer des bottes de cuir, me dit-il. Mais maintenant, il faut terminer le tout qui fera de toi le roi de la soirée » me dit-il en quittant le salon, me laissant seul devant ce mec qui riboulait toujours mon corps. Je tournai légèrement la tête et il était là, super sexy dans sa combinaison qui laissait parfaitement voir sa queue en pleine érection. Il me sourit tout en commençant à déboutonner sa combinaison, lentement, très lentement, bouton après bouton, me laissant voir une poitrine musclée et velue. J’avoue que je remplissais grandement mon jockstrap tant ma queue était raide. Avec un plein d’érotisme, il se mit à se caresser la poitrine d’une main et de l’autre, la plaqua contre sa bite, la serrant entre ses doigts pour me montrer toute sa splendeur. Et le grand blond revint, le mec se reculant aussitôt et rattachant sa combinaison. Il tenait, en mains, de grandes ailes de plumes rouges. « En espérant que tu vas aimer », dit-il en me les attachant aux épaules. L’effet était des plus magnifiques. J’avais l’air d’un ange du sexe. Ce costume était tout à fait incroyable. Il valait le prix. « Tu chausses du combien », me demanda-t-il. « Du 10, pourquoi ». « Si tu es d’accord, je me rends dans un magasin à quelques minutes d’ici et je vais te choisir les bottes qui iront à la perfection avec ce costume ». Et pourquoi pas? Ça me libérerait de faire les magasins. Il me libéra des ailes avcılar escort qu’il posa délicatement sur le canapé et quitta, me laissant seul chez lui avec ce mec dont je ne savais qui il était. Et où était-il passé? Il s’était évaporé lors du retour du designer. Il ne devait pas être très loin. Le condo n’était tout de même pas un manoir. Mais bon, je devais attendre le retour du blondinet, dans ce costume, espérant qu’il n’en avait pas pour longtemps. Je pris donc place dans le fauteuil, mon cellulaire en main pour regarder mes messages. Comme toujours, ma boîte courriel était remplie de messages du bureau mais je décidai de ne pas les lire. Lundi matin arriverait bien assez vite. Et il réapparut, toujours dans la cuisine, s’appuyant à nouveau contre le mur. Déjà, il avait détaché sa combinaison jusqu’à son pubis. Cellulaire en main, pourquoi ne pas l’utiliser de façon pratique? Je cliquai sur la caméra et ça le fit sourire. De sa main gauche, il écarta sa combinaison, me laissant voir toute la beauté de son arcade. Wow, il était rasé à la peau. Il mouilla son index et le posa sur un mamelon, l’effleurant délicatement tout en se léchant les lèvres. Je le soupçonnais de raffoler de se savoir filmer. Et il se mit à se déhancher voluptueusement, comme s’il dansait sur une musique enivrante, ne cessant de me regarder droit dans les yeux. « Tu es un voyeur et ça m’excite de savoir que tu me désires », me dit-il tout bas, me tournant le dos pour me montrer cette partie de sa combinaison qui, ouverte, me laissait voir un superbe cul bombé. Il se pencha vers l’avant, écartant le matériel pour exposer son trou de balle rosée. C’était trop pour moi. Ma queue était prête à exploser juste à contempler ce troufignon rasé. Il refit demi tour, avança de quelques pas et s’arrêta, enfonçant une main pour en sortir un large boudin qu’il se mit à caresser tout en poursuivant sa danse. Moi, je filmais toujours ce spectacle, me disant par contre que le blondinet reviendrait dans quelques minutes. « Tu as le choix. Tu continues de me filmer ou tu déposes ton cellulaire et je me rapproche de toi » me dit-il en se débarrassant du haut de sa combinaison. Sans même me poser la question, je posai mon cellulaire sur la table et il fit ce qu’il dit, se rapprochant de moi, son corps à demi dévêtu et son magnifique canon dur comme le roc, bien droit, pointé vers moi. « Tu aimerais que je te l’enfonce dans le fond de la gorge? Je suis certain que tu as envie de la sentir dans ta bouche, de la goûter, chuchota-t-il en s’avançant plus près, tenant son poireau bien en main. Je ne veux pas que tu ouvres la bouche. Humecte tes lèvres ». Ce n’était pas très difficile de les humidifier tant je bavais. Et il glissa son gland sur mes lèvres qui avaient peine à ne pas s’ouvrir. « C’est bien, tu es un bon petit pitou , disait-il en me regardant droit dans les yeux. Maintenant, je vais me retourner mais tu ne peux pas toucher à mon médaillon. Tu ne peux que regarder ». Il voulait ma mort ce mec. Il se tourna et, écartant ses fesses, me présenta son pétard. Il se remit à se déhancher, se penchant vers l’avant. Ses miches étaient une œuvre d’art. « C’est ridicule, dis-je, comment ne pas toucher à un cul semblable? » « Dis que tu aimerais me le lécher, y glisser ta şirinevler escort langue avant de la pousser contre ma rondelle ». « C’est tout ce que je désire présentement ». « Et mes couilles, tu aimerais les manger, dit-il en me les montrant si près que je pouvais presque ressentir leur chaleur. J’étais si excité que je me serais fait enculer par un chien tant mon cul criait au secours. Et l’on entendit la porte se refermer. Il était de retour. Aussitôt, le mec quitta le salon, à pas de course. « J’ai trouvé ce qu’il te faut , cria le blondinet en entrant dans le salon, une paire de bottes en main. Allez, chausse-les qu’on voit l’effet que ça donne ». Je me levai, les chaussai et ce petit mec avait vraiment l’œil. Elles étaient parfaites. J’étais super content. J’avais mon costume pour la Saint-Valentin et je savais que les mecs invités au party baveraient devant moi. N’était-ce pas là la raison de ce party? « Puis-je utiliser ta salle de bain? » demandai-je, ayant une petite envie d’uriner. « Aucun problème, c’est au bout du corridor ». Je ne me fis pas attendre et me rendit à la pièce, refermant la porte derrière moi. Debout, devant la cuvette, je libérai ma queue du jockstrap et laissai sortir l’urine, me soulageant de cette envie que j’avais depuis quelques minutes. Et la porte s’ouvrit, laissant entrer le mec qui posa ses doigts sur ses lèvres pour me dicter de garder le silence. Il se posta derrière moi, bien collé contre mon cul. Je pouvais très bien sentir sa grosseur. Et il baissa la fermeture éclair qui lui offrit mon cul déjà bien imbibé. Par le miroir, je le vis cracher dans sa main et humecta sa queue qu’il pressa aussitôt contre mon trèfle, l’enfournant d’un seul coup. Que du plaisir divin. Ses mouvements de va-et-vient qui s’accéléraient toujours plus me rendaient complètement fou. « Je sais que tu aimes sentir mon poireau dans ton troufion, me chuchotait-il à l’oreille. Tu aimes ça ruff ma salope. Je suis certain que tu es du genre à te faire fourrer par des dizaines de mecs qui te passent dessus les uns après les autres. Tu es de ce genre qui en demande toujours plus. Tu es une chienne en chaleur, je l’ai vu tout de suite. Dis-moi que tu capotes de sentir ma queue en toi. Tu aimes te faire baiser par des vrais mecs comme moi. Je vais te cracher mon foutre dans le fond de ton cul salope que tu es. Je suis certain que tu n’attends que ça, de sentir la chaleur de mon yaourt couler en toi. Tiens, prend-le au complet ». Et je la sentis, sa chaude béchamel qui se frayait un chemin en moi. Et il se retira. « Ne te reste qu’à me lécher », me dit-il en me présentant sa queue bien mouillée. Je m’agenouillai et la pris en entier dans ma bouche, la léchant de partout pour ne pas laisser aucune goutte de ce liquide miraculeux. Rien n’est meilleur que du foutre d’un mec tel que lui. « Maintenant, tu ne crois pas que c’est terminé entre nous deux. J’ai pris ton numéro de cellulaire dans celui de Joseph et je te contacterai. Et tu dois absolument me répondre. Pas de texto, pas de boîte vocale. Où que tu sois, tu réponds ». Et il sortit, me laissant là, seul, sans même que je sache son nom. Je relevai la fermeture éclair et allai retrouver Joseph, le blondinet, au salon. Je ne savais pas si le mec était son conjoint mais il ne se doutait nullement que mon envie d’uriner s’était terminée par un ramonage des plus exquis et que le boudin de ce mec était la huitième merveille du monde. Il ne me restait qu’à me changer et à payer ce costume qui en fin de compte, m’avait ouvert à une expérience des plus enrichissantes. J’avoue qu’en partant de là, je me suis dit : « Quand me téléphonera-t-il? »

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