Souvenirs… (-4-)

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Double Penetration

Souvenirs… (-4-)”Cheveux en batailles”Nous y voilà, jour J de la fête organisée par Emilie. Je crois que rien ne va plus depuis le début de ce merdier… (si vous ne voyez pas où je veux en venir les trois premières parties éclairerons sans doute votre lanterne).Je suis tendue et constamment au bord de la crise de nerfs, bon je dois bien vous avouer aussi que je n’ai jamais été autant excitée sur une aussi longue période. J’ai beau me masturber rien n’y fait, j’ai l’impression que mes doigts sont sans arrêt fourrés là dessous, sans parvenir toutefois à me soulager.Il faut que je me calme ! Moi qui demandais juste des vacances paisibles…Bon c’est vrai, j’ai moi aussi de vilains secrets, une peluche et un ”étui à cigare” par exemple qui s’ils pouvaient parler, auraient bien des choses à raconter. Mais ”ça” ça va bien trop loin non ? Je ne me sens pas capable d’assumer tout ce bazar.Je ne suis pas ”normale”, déjà je ne peux pas être lesbienne ? A vrai dire je ne me suis jamais posé la question, si je peux ? Pourquoi ? Je ne tourne vraiment pas rond… Et comment ça ce fait qu’elle ne quitte pas mes pensées, je suis devenue folle & perverse cela ne fait plus aucuns doutes. Je suis une ”salope” Emilie a raison et le pire dans tout ça c’est que ça m’excite de plus belle…Ce soir c’est décidé pas de conneries ! Même si j’en ai envie enfin un peu, je ne me ferais pas avoir. J’ai apprécié c’est vrai, je me suis sentie vulnérable et j’ai aussi apprécié c’est vrai aussi, mais non je ne suis pas ce ”genre” de fille ! Peu avant l’heure, nous avons échangé quelques messages pour les derniers détails et ma volonté n’a pas flanché… rien n’y fera ma belle : je suis déterminée.J’y vais !Une soirée cool, entre nanas, musique & papotages, rien de bien folichon. Nous avons appris que la cuisson du poulet au barbecue n’était pas si simple mais clairement je m’en fiche (et vous aussi d’ailleurs). Apres une arrivée tendue comme une arbalète, je me suis relaxée au fur et à mesure, une petite bière aidant au processus.Je ne ”boude” pas Emilie, après tout nous sommes chez elle, ses parents ayant déserté pour la nuit, nous offrant la possibilité de profiter de cette belle soirée de fin d’été. Je conserve une petite ”distance” comme sur mes gardes. Elle elle survole la soirée mettant tout le monde à l’aise et veillant au confort de chacune. Nous nous sommes parlées, avons pris le temps de rigoler, mais pas ni gestes ni regards ou sourires déplacés, tout est sous contrôle, même mon minou affiche une certaine sérénité ce qui n’était pas arrivé depuis un moment.Les dernières chansons, on danse, on fais les fofolles, et me voilà sortie pour enfourcher mon fidèle destrier, retour au bercail. Les filles se sauvent chacunes leur tour dans un joyeuse cacophonie. Je m’équipe, sécurité avant tout, Emilie se montre à la porte et viens vers nous les mains dans les poches. Je suis moins sûre de moi tout à coup.”On peut se parler ? Viens rentre”, elle a raison on doit parler, sur le coté ” bon bye les filles”. Nous sommes seules et je la suis ”On va dans ma chambre”. On monte se retrouvant dans cette pièces, son oreiller me faisant de l’œil dès mon entrée. Silence gêné, et c’était bien une des rare fois. Pour détendre l’atmosphère Emilie propose un verre, un truc de son père, fort et vraiment dégueu, comment sarıyer escort on peut boire ça, j’ai faillis m’étouffer avec et elle aussi, ce qui nous a fait rire.Je me lance et je lâche tout comme pour me libérer d’un poids, en vrac et sûrement pas sur le bon ton : que je ne suis pas lesbienne, que ça me mets mal à l’aise, que, que, que et encore que ! Mon sac est vidé et je suis à bout de souffle, elle m’interrompt tout en douceur posant un main sur mon épaule, me demandant si elle avait fait quelque chose de mal, son beau visage est au bord des larmes ce qui me fends le cœur instantanément. Je lui réponds que non non et que c’est juste moi qui était perdue et en colère mais je ne savais pas trop après qui.”Tu as aimé ?” m’a t’elle demandé ”oui beaucoup même, mais ce n’est pas bien si ? ” dis je en baissant la tête, commençant à mon tour à retenir mes larmes. Elle a déployé des trésors d’imagination et de patience pour me calmer et me rassurer. M’expliquant que non ce n’était pas grave, que personne n’était au courant et que personne n’allait l’être. Qu’elle ne se sentait pas lesbienne non plu, et en détails avec beaucoup de pédagogie qu’elle etait ”un peu bi”, qu’elle aimait les garçons mais aussi s’amuser avec les filles. Que oui c’est possible, que ce n’est pas un ”problème” à résoudre ni même un problème en soit. Elle me fait rire.J’ai honte maintenant, je me suis emballée et je m’en excuse. On as bien parlé deux heures entières passant des larmes aux rires. Je suis soulagée et elle aussi visiblement son beau sourire éclaire sa chambre. On parle à cœurs ouverts et ça fais du bien de mettre des mots sur tout ça, elle m’avoue avoir eu deux ”copines spéciales” avant moi, et qu’elle était navrée de m’avoir brusqué mais qu’elle en avait eu envie dès notre rencontre, et aussi qu’elle n’a pas cesser de me mater tout au long de la soirée. Désireuse de vite changer de sujet et sentant le vent tourner, chose que je sais reconnaître maintenant, vous savez quand l’ambiance d’un pièce change du tout au tout en un éclair, c’est ce qui se passe en ce moment. Sans trop y réfléchir, aidée peut être par ce ”verre” pas bon du tout, mais ça délie les langues il faut croire, je me lance à lui demander pourquoi elle m’avait demandé de la fesser. Elle éclate de rire ” bah je ne sais pas trop en fait c’est un truc que je fais comme ça”. Je veux en savoir plus elle a piqué ma curiosité. Elle confesse le faire beaucoup seule, l’avoir fait avec une autre de ses ”copine spéciale” et jamais avec un garçons.”Comment ça seule ?” j’ai du prendre un air interloquée car elle se marre et me fait un clin d’œil ”Oui quand il n’y as personne à la maison à cause du bruit” elle m’explique ” tu sais pour évacuer la pression après une mauvaise journée ou que je suis trop sur les nerfs”. Elle se lève d’un bond avant de sortir pour revenir aussitôt avec une brosse à cheveux, me tendant l’objet ”avec ça” le désignant du regard, en se rasseyant, glissant ses cheveux derrière son oreille.Je touche cet ”ustensile”, prenant en considération son poids et sa texture. Je n’aurais jamais pu imaginer qu’une brosse à cheveux puisse servir à ”ça”. Elle est petite, arrondie, en bois et a l’air très rigide mais on ne peut plus innocente. esenyurt escort ”Tu peux avec ça ? Tu ne te fais pas mal ?”. Elle rie me disant que ça pique mais ”juste ce qu’il faut” avec un clin d’œil et un sourire plein de malice, très mauvais calcul, terrain glissant… Mon ventre est de nouveau sans dessus dessous.”Tu veux voir ?”Qui ne dit mot consent, c’est ce qu’elle a du se dire pendant que je me suis contenté de baisser les yeux en déglutissant. Elle se lève, me reprenant l’objet des mains, avant de monter sur son lit et de se placer à 4 pattes, je reste assise sur le sol sans oser bouger le moindre cils. Sa petite jupe en jean se soulève, quand elle se penche pour poser une main sur son lit, l’autre empoignant l’objet. Mes yeux sont braqués sur le vision qui s’offre à moi, j’ai chaud de nouveau mais rien à voir avec le verre, et ma chatte n’est plus si sereine que ça elle non plus.Elle lève le bras avant de faire durement s’abattre la brosse que son cul, elle gémit. Mon minou ressent cet impact jusqu’au plus profond de mon intimité. Je me repasse le fils des événements, mes yeux posés sur son cul, bizarrement le calme est revenu dans mon esprit. Je la regarde se fesser, je ne suis pas gênée et je n’ai pas envie d’être ailleurs. Je profite du spectacle pendant que ma fleur s’ouvre et que je laisse aller mes mains sur mes seins, mes tétons sous mon top déjà bien affolés par cette situation.Une énergie nouvelle s’empare de moi, je me lève et m’avance vers le lit. ”Plus fort” je m’entends demander, elle s’exécute gémissant plus intensément sous ses coups. Je me rapproche encore et relève sa jupe un peu hésitante au départ, elle se laisse faire me gratifiant d’un sourire complice et charmeur. Je remonte sa jupe sur son dos, et encouragée, je décide de lui ôter son string. Elle lâche un ”oh” de surprise pendant que je le fais glisser à ses genoux. Mes mains prennent soins d’apprécier le contact de sa peau, j’approche mon visage pour venir lui planter un baisé au creux des reins, et en profiter par la même occasion pour découvrir l’odeur de son sexe pour la première fois. Satisfaite je me redresse, son odeur m’a enivré, elle sent divinement bon cette petite chatte. Je caresse son fessier rebondis comme pour soulager la brûlure laissée par les coups de brosse, sa peau est légèrement rosie.Cela ne semble pas l’apaiser pour autant, elle soupire sous mes mains, et je m’aventure plus loin sur ce territoire dénudé. Je caresse l’intérieur de ses cuisses, le haut de ses fesses. Je me régale, tellement ce moment est sensuel et doux. En confiance j’explore l’intérieur de ses jolies fesses du bout des doigts, et cette partie si douce juste avant l’entrée de son minou. Son cul me rend mes caresses en ondulant, je la vois mouiller sous mon regard, son sexe gonflé et ouvert.D’un œil je repère la brosse abandonnée sur le lit et je m’en saisi. Elle baisse la tête en grognant, prenant conscience de ce que je comptait faire. Un coup trop fort, mince… Deuxième essai, beaucoup mieux, je continue comme ça. Elle gémit très fort, son nectar s’échappant de sa chatte pour venir former une longue goutte entre ses lèvres, ce qui me rends fière de moi et me donne aussi envie d’y goutter mais je ne me sens pas prête. J’accélère le rythme, son corps me donnant la avrupa yakası escort réponse à savoir si je ”faisait bien”. Elle me tend bien ses lobes de fesses, en serrant fort la couverture entre ses doigts. ”Vas y oui !” Je frappe plus fort et plus sec, c’est bien mieux qu’à la main je n’ai pas mal cette fois ci. Quelques bons coups bien appuyés, elle se plaint en commençant à envoyer ses mains vers l’arrière pour m’arrêter. Des ailes m’ont poussé, je me rapproche pour saisir son bras et la maintenir en place avant de continuer. Sans doute l’expérience de fessés reçues bien plus jeune qui me font savoir comment la contraindre. Elle râle de plaisir et de douleur. Le traitement fais son effet sur son cul, une couleur rougeoyante et vive comme s’il luisait dans la lumière feutrée.Je lâche mon emprise, par peur d’aller trop loin, elle s’effondre sur le lit allongée sur son ventre, en poussant un soupir de satisfaction. Je me penche pour lui embrasser l’épaule. Emilie se retourne son expression a changé, je suis traversée par un moment de doute, je ne parviens pas à définir ce qu’elle exprime. Son visage est rouge et chargé d’émotions, ses yeux rempli de larmes… Un sourire qui en dit long viens à mon secours.Elle att**** ma nuque pour m’attirer à elle et m’embrasse fort, nos langues se retrouvent. Emilie se met à genoux en me fixant droit dans les yeux, je perds pieds. Elle enlève son t shirt et son soutien gorges d’un geste gracieux et rapide, avant de tendre les bras pour me défaire des miens, puis m’aide à déboutonner mon short, je me laisse faire j’en ai envie.Elle est nue, je suis en string, debout sur nos genoux face à face, mes mains s’avancent pour aller palper ses jolis seins qui me faisaient tant envie. Je n’en perds pas un miette, prenant soins de bien détailler ses tétons qui pointent avec hardeur sous mes caresses. On s’embrasse de nouveau nos corps entres en contact, comme submergés, nos baisés sont plein de fougue, ses mains dans mes cheveux faisant rouler ma tête sur les cotés tandis que les miennes se plaquent sur ses fesses toutes chaudes, les malaxant avidement. Emilie m’allonge maintenant, ses mains partout sur moi, nos cuisses se dirigeant naturellement entre nos jambes respectives. Sa chatte est trempée et je sens sa mouille couler sur ma cuisse. J’aime cette sensation et cette odeur de plaisir et de désir. Elle donne le rythme, je me laisse aller, nos sexes s’écrasants sur nos cuisses dans un danse torride amplis de baisers et de soupirs.Elle a joui très vite, je suis perdue, dois-je m’arrêter ? elle lit dans mes pensées ”continue ma belle” je ne me fait pas prier, je suis en feu, accélérant la vitesse et l’intensité. Elle me dévore les seins, m’embrasse et me caresse, je succombe dans une décharge incroyable faisant trembler le moindre muscle de mon corps. Je suis vidée, je flotte dans les airs et dans ses bras. Nous sommes restée lovée l’un contre l’autre un bon moment à se caresser tendrement, sans ressentir le besoin de dire un mot. Je suis aux anges. J’ai levé les yeux vers elle pour lui demander ” Je ne suis pas une salope alors ? ” suivis d’un fou rire incontrôlable.Je suis rentrée bien trop tard, sourire au lèvres, pour une fois ni questions, ni scénarios tordus… je me sens bien plus forte qu’en partant.Les vacances ont touché à leur fin, sans que nous nous recroisions, à la réflexion je dirais que c’était plus ou moins calculé. J’ai énormément appris cet été là, déjà que moi aussi j’étais ”un peu bi” et que ce n’était pas bien grave. Et aussi que c’est sans doutes de là que me viens un légère obsession pour la fessée érotique.L’avenir nous dira si je serais amenée à recroiser Emilie.

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