2020 après Jésus-Christ

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2020 après Jésus-ChristNous sommes en 2020 après Jésus-Christ, la Belgique est confinée par le Covid-19 … Toute ? Non ! Une irrésistible belge résiste encore et toujours à l’envahisseur et continue de donner la … gaule.Confinement : Jour 18Deux semaines après le début officiel du printemps, la première vraie journée printanière étale ses rayons solaires sur la Belgique. Le ciel est bleu et la température atteint 19 degrés. Nous sommes samedi, c’est traditionnellement le jour des courses et en cette période de confinement, celles-ci sont particulières car elles répondent à des règles strictes afin de limiter la propagation du virus ; le Covid-19.Le nombre de clients présents dans le magasin au même moment est limité, un agent de sécurité filtre les entrées aux aléas des sorties, une seule personne par ménage peut faire les courses avec l’obligation d’utiliser un caddie. Il en résulte une file interminable de personnes seules munies de leur caddies, à distance de sécurité l’une de l’autre, attendant leur tour. Il y a des femmes seules mais un grand nombre d’hommes seuls également. Des hommes confinés depuis des jours en célibataire ou, pire pour certains, avec leur femme. Peu ou pas de sexe pour la plupart, fini les maîtresses pour une durée indéterminée.Dans la file, il y a Lau, venue acheter de la matière première, du moins pour elle : des capotes.Lau est arrivée il y a une bonne demi-heure.Elle a garé sa voiture à l’écart, sur le parking sur le côté du supermarché, tout au bout près des arbustes et autres végétations. Malgré la file de caddies qui s’étire, le vaste parking est peu rempli. Les voitures sont agglutinées près de l’entrée sauf la sienne et quelques autres qui sont certainement au personnel du magasin. Elle est habillée d’un jean moulant dont dépasse la ficelle de son string et d’un petit haut blanc semi-transparent … sans soutien-gorge. Non seulement ses tétons sont visibles par transparence mais en plus le top est échancré et dévoile ses seins dans toute leur nudité sur les côtés. Ostensiblement, elle décide d’aller chercher un caddie à l’opposé de l’entrée du magasin afin de longer toute la file pour aller chercher son caddie. Vu qu’elle marche dans le sens de la file, quelques regards se tournent vers elle et observent son cul, le regard attiré par cette ficelle qui dépasse mais aussi ses seins, le regard attiré par ce « sideboob ». Munie de son caddie, Lau remonte maintenant la file dans l’autre sens, les gens dans la file la voyant maintenant de face découvrent par transparence, ses aréoles et ses tétons. Plus de regards de mâles solitaires et en manque se posent sur elle qu’au premier passage et la suivent du regard tandis qu’elle se met en bout de … queue.Lau est donc dans la queue alors que d’habitude c’est l’inverse ; c’est bientôt son tour, au plus elle s’approche de l’entrée, au plus le vigile l’observe. Durant la demi-heure écoulée, les hommes placés devant elle dans la file n’ont eu de cesse de se retourner afin d’apercevoir ses seins. La taille ne compte pas, n’est-ce pas Messieurs ?La voilà en tête de file, le vigile ne la lâche pas du regard. Soit il en profite ou soit il se demande s’il doit la laisser rentrer à moins que ce ne soit les deux en même temps mais ce qui est sûr c’est qu’il profite de la vue. Une personne sort, c’est à elle … le vigile lui fait signe d’avancer. Elle avance lentement afin qu’il puisse bien la regarder, passe au plus près de lui tout en restant à distance autorisée.« Vous pouvez entrer Mademoiselle, vous avez une demi-heure ».Elle lui sourit et entre dans le magasin tout en se disant qu’il ne l’oubliera pas et saura exactement à quelle heure elle est rentrée contrairement aux autres clients. Elle ne s’en inquiète pas, elle en a pour cinq minutes tout au plus, ça lui laisse largement le temps de s’amuser un peu de cette rare sortie autorisée par le Gouvernement. Ce dernier n’a pas précisé qu’il fallait absolument mettre un soutien-gorge sous un top semi-transparent, chacun ses priorités.Elle est venue acheter des capotes, elle sultanbeyli escort connaît le magasin et sait donc dans quel rayon ils se trouvent pourtant elle ne se dirige pas par là et avance en observant. Que cherche-t-elle ? Elle ne regarde absolument pas les articles mais plutôt les allées. Il y a quelques clients dispersés, pressés, stressés qui cherchent à remplir leur caddie en vidant leur liste de course au plus vite. Il y a aussi quelques employés qui remplissent les rayons qui se vident bien plus vite que d’habitude. C’est eux qu’elle observe … elle fait son choix et se dirige vers l’un d’entre eux.Ce n’est ni le plus jeune, ni le plus beau ; il est accroupi à remplir un rayon et concentré sur sa tâche, il ne la voit pas approcher. Elle s’arrête à environ deux mètres de lui et lui lance :« Hé salut »Il se retourne et la voit. Son visage se fige en une expression étonnée et son regard se fige sur ses petits seins exposés. Elle laisse volontairement un blanc afin de lui laisser le temps de bien les regarder et puis lui dit enfin :« Je cherche un article que j’utilise sans arrêt mais je ne le trouve pas et j’en ai vraiment besoin un max »Il arrive tant bien que mal, en articulant vaguement, à lui demander ce qu’elle cherche.« Plusieurs boîtes de capotes » lui répond-t-elle le plus naturellement du monde.Il lui indique vaguement du bras la direction. Il ne semble pas capable d’en faire plus tant il est hypnotisé par ses petits seins.« Merci » lui dit-elle et elle se retourne pour partir dans la direction indiquée mais s’arrête directement et tourne la tête vers lui. Son regard est maintenant dirigé plus bas sur son corps, il mate son petit cul … Elle lui lance une dernière phrase pour lui laisser le temps d’en profiter et faire travailler son imagination :« Et ne vous méprenez pas, c’est purement professionnel ; hors travail je n’en utilise jamais »Elle repasse dans l’allée centrale et se dirige dans la direction indiquée mais passe volontairement au-delà du rayon qui l’intéresse et s’enfonce plus profondément dans le magasin en continuant son petit jeu d’observation des employés qui travaillent en rayon.Elle recommence son manège en fixant son choix sur un homme aux caractéristiques identiques à celui d’avant. Par contre il la voit arriver et se lève à son approche. Elle s’arrête en respectant la distanciation sociale.« Salut »Il la regarde de bas en haut : « Bonjour, ça c’est un des bons côtés du soleil ! »Elle lui sourit : « Et encore avec quelques degrés de plus ce sera la micro-jupe »« J’espère que vous viendrez me saluer aussi à ce moment-là »Elle regarde ostensiblement son entrejambe : « C’est plus que probable, d’ailleurs je cherche des capotes, vous en avez ? »« Si vous parlez de moi, j’en ai chez moi mais il y en a en rayon aussi »« On va commencer par ceux en rayon et on verra plus tard si je peux aider à écouler votre stock personnel »Il s’approche d’elle afin de lui indiquer clairement le rayon. Rien de plus simple en fait c’est le cinquième rayon à droite comme elle le sait. Mais, comme vous le savez, elle est joueuse et fait mine de ne pas être sûre de trouver seule … il décide donc de l’y accompagner ce qui leur permet d’échanger leurs prénoms, de dire vers où ils vivent, etc… mais les voilà déjà arrivés. Le rayon est dépeuplé, les gens préfèrent acheter du papier toilette pour se branler. Le choix parmi les capotes est large …« Quelle taille je devrais prendre pour toi (ils sont passés au tutoiement après l’échange des prénoms) ? »Il sourit et lui indique « Celle-ci mais si tu préfères il y a différents goûts … »Elle l’arrête directement « Je suce sans capote vu que j’adore le goût du sperme et puis de toute façon, je vais en prendre une boîte de chaque vu que je ne sais jamais à l’avance qui va me baiser ».Elle prend donc une dizaine de boîtes de capotes et lui tourne le dos pour les mettre dans son caddie pour lui permettre de bien lui mater le cul. Elle se redresse et tout en se retournant lui lance : « Et pour te remercier çekmeköy escort … »Et là, il voit qu’elle a pincé son haut entre ses seins qui sont maintenant dénudés. Elle le laisse les observer pendant plusieurs dizaines de secondes ; elle pointe, elle aime ça et lui aussi au vu de son regard. Elle remet son haut dans sa position d’origine et lui dit « Salut » et elle s’en va vers les caisses sans un regard ni un mot de plus. Il la regarde probablement partir en matant son cul et en se demandant s’il doit lui demander ses coordonnées. Elle n’est pas inquiète d’avoir montré ses seins alors qu’il y a des caméras, elle sait que le vigile n’est pas devant ses écrans et que la bande sera effacée automatiquement très vite.Mais si cet employé qui semble intéressé veut la baiser, ça se mérite ; il faut savoir faire preuve d’intelligence. Il lui suffirait de voir à quelle caisse elle paye, il connaît déjà son prénom et son quartier. Puisqu’elle fait usage de sa carte de fidélité du magasin, il pourra retrouver sa fiche cliente avec le numéro de sa carte et ainsi avoir accès à son nom, son adresse, son téléphone, … Fera-t-il les démarches pour aller la baiser après le confinement ? L’avenir nous le dira. Mais revenons-en au présent.Le présent, c’est le regard noir de la caissière sur Lau qui achète une centaine de capotes comme si c’était normal. Mais pour Lau, c’est normal et le courroux de la caissière l’amuse plus qu’autrechose. Elle paye et se dirige vers la sortie. Le garde la voit ressortir et elle s’amuse à lui demander :« Alors, j’ai mis combien de temps »Surpris de ce culot (mais devrait-il encore l’être d’une fille qui montre ses seins à tout le monde ?), il regarde malgré tout sa montre et lui répond « 26 minutes … »« Dommage, j’aurais aimé que vous me donniez la fessée » lui rétorque-t-elle.Ne sachant plus la regarder dans les yeux, il baisse le regard et voit le contenu de son caddie …Elle continue sa phrase « … mais ça sera pour la prochaine fois, je serai vite de retour quand j’aurai fini tout ça, à la semaine prochaine ». Et elle s’en va. Mais au lieu de se diriger vers sa voiture, elle va reposer son caddie. Cela l’oblige à porter dans ses bras collés à elle les boîtes de capotes. Cela pourrait paraître idiot mais elle le fait sachant que tous les regards en attente dans la file se dirigeront vers ses seins, ils verront donc automatiquement ce qu’elle a acheté.Elle repasse donc ainsi chargée de boîtes en équilibre précaires contre ses seins devant le vigile et ‘malencontreusement’ elle fait tomber une boîte par terre. Impossible pour elle de la ramasser sinon toutes les boîtes tomberaient … elle regarde l’agent de sécurité avec son regard de petite chienne suppliante. Il ne résiste pas à venir aider la demoiselle dans le besoin et vient donc ramasser la boîte.« Merci, mettez la sur le haut de la pile, entre mes seins, ça devrait le faire »Ce qu’il fait, sa main frôlant à peine un de ses tétons mais sans plus. Il n’en profite pas, tant pis pour lui ; il y a encore pas mal de mecs entre Lau et sa voiture … Elle remonte lentement la file et voit au bout de celle-ci un homme seul ; un regard discret vers son annulaire gauche … c’est le héros de la maison qui brave le danger pour nourrir sa femme et peut-être aussi ses gosses. Il a bien droit à une petite récompense pour sa bravoure. Comme chaque autre homme dans la file, il la regarde.Arrivée à sa hauteur, elle recommence son manège en faisant tomber une boîte par terre. Regard suppliant. Le héros vient à son aide. Elle lui indique le haut de la pile. Il replace la boîte mais en profite pour faire une pression de quelques secondes sur son sein gauche. Bingo … Elle avance à peine d’un pas que plusieurs boîtes tombent par terre. Echange de regards … et elle lui dit :« Je crois que j’ai besoin d’un caddie finalement … »Et oui, c’est bien un héros puisqu’il lui propose de l’accompagner avec son caddie jusqu’à sa voiture. Elle fait l’embêtée : « Oui mais vous allez perdre votre place de la file, ça me gêne dudullu escort … »« Pas de soucis Mademoiselle, c’est avec plaisir »Elle laisse donc tomber le reste des boîtes depuis ses bras dans le caddie et ils se penchent tous les deux pour ramasser celles par terre. Leurs regards se croisent. Ils ne parlent pas, ils savent qu’il ne vaut mieux pas et surtout ce n’est pas utile ; il sait ce qu’elle veut et elle sait qu’il veut lui donner la même chose; sa bite. Echange de sourires. Tout en se dirigeant vers sa voiture, ils font un peu connaissance comme elle l’a fait avant avec l’employé en rayon.Ils arrivent à sa voiture dans le coin le plus reculé, le plus isolé des regards et le plus vide du parking. Elle ouvre le coffre pour y déposer les boîtes de capotes. Penchée ainsi, son top se fait plus ample au niveau des seins et le « sideboob » s’agrandit au point qu’il peut voir presque entièrement ses petits seins nus par le côté. Elle le sait et donc elle traîne un peu ; elle attend même puisqu’elle lui dit « Il n’y a personne, vas-y touche le, glisse ta main dans mon top » Il s’exécute, le touche, le palpe, le presse comme il peut, sa main serrée dans le top. Sans demander ni prévenir, elle pose sa main sur son entrejambe. Sa bite est dure … Alors elle lui dit :« Tu vois juste là entre ces buissons, il y a un petit sentier quasi jamais emprunté … »« Oui je le vois »« Si tu déposes quelques billets dans mon coffre, je prends des capotes et on y va … »« De toute façon, je ne peux pas les utiliser pour autre chose en ce moment alors voici pour toi » me dit-il en déposant l’argent dans mon coffre.Je prends des capotes, ferme le coffre, verrouille la voiture ; il laisse sa charrette sur le côté, il a plus important à faire qu’à la ranger et il n’est plus à 1 euro près vu ce qu’il dépense pour me baiser. Je le précède, il me suit dans le sentier. Estimant qu’on est assez à l’écart, je m’arrête près d’un tronc d’arbre. J’enlève mon top et j’abaisse mon jean et mon string.« Approche que je te mette la capote. Vu la situation, tu me prends la chatte par derrière, pas de face et pas de pipe ni d’embrassade, ça te va ? »« Un peu que ça me va »Je lui abaisse le pantalon et le boxer, il bande encore un peu. Je le branle un peu en le regardant dans les yeux tout en écartant bien mes cuisses pour qu’il me voie me toucher la chatte de l’autre main pour la faire mouiller. Il bande vite assez dur pour que je lui enfile la capote. On est là pour du vidage de couilles en règle, ni plus ni moins. Je me relève, me tourne, m’appuie au tronc d’arbre en me penchant en avant en cambrant mon cul.« Tu peux y aller à fond, ma chatte est habituée et on ne m’entendra pas trop couiner ici »Il ne se fait pas prier pour enfoncer sa bite dans ma chatte et me la baiser avec le seul objectif de se vider les couilles. Je couine comme une bonne petite pute qui aime ça car j’aime vraiment ça. Le bruit des voitures passant sur la route plus haut couvre mes cris mais ce que je sais et ce qu’il n’a probablement pas vu obnubilé qu’il est par mon corps c’est que depuis cette route on peut potentiellement être vus ; d’assez loin certes, mais vus quand même. Et ça, ça m’excite encore plus tandis que je me caresse le clitoris pour me faire jouir. Tremper ma chatte pendant que sa bite y glisse. Il tient pas mal le coup jusqu’à ce qu’il ralentisse la cadence juste après un râle … il a joui. Il en a fini avec moi mais moi, pas tout à fait …Il se retire … Je lui dis d’attendre, de me laisser lui enlever la capote … Je la retire, penche ma tête en arrière, ouvre ma bouche, tire la langue, place la capote juste au-dessus et en vide le contenu sur ma langue. Je ferme ma bouche, le regarde, il m’observe toujours nue et me voit déglutir, je rouvre ma bouche et tire la langue, j’ai tout avalé … mais la capote n’est pas nettoyée … je la retourne, la met en bouche et la suce. Je ne veux pas laisser une seule goutte du sperme que ma chatte a extrait de la bite de cet inconnu. Maintenant, j’en ai fini avec lui.Il se rhabille et s’en retourne à sa queue … de caddies.Je reste un peu là, debout, nue à regarder en direction de la route au loin en espérant qu’on me regarde … Après quelques instants, je me rhabille et retourne à ma voiture. Le caddie n’est plus là, lui non plus … je suis seule, jusqu’au suivant …Le 4 avril 2020par BonFi0n

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