Les Expatriés – Robert et Sarah

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L’histoire qui suit est entièrement fictive, mais elle provient en droite ligne des histoires qui se racontaient sur le Zimbabwe de la fin des années 1980. Ces expériences racontées par de nombreux expatriés blancs, et de leurs familles vivant en Afrique. Les noms, bien sûr, ont été changés, et tout est parfaitement fictif. Quelques Africains puissants et influents ont réussi à mélanger argent et pouvoir pour obtenir le genre de relations sexuelles qu’ils souhaitaient.

À Harare, la capitale du Zimbabwe, en 1990, en raison de circonstances politico-économiques, il y avait près de 4 millions d’hommes africains qui travaillaient dans les usines. Ils venaient des campagnes environnantes et ils avaient été recrutés comme main-d’œuvre bon marché. À cette époque, il y avait environ 500 000 femmes africaines à Harare. Avec 8 hommes noirs pour chaque femme africaine, il y avait une énorme tension sexuelle refoulée. Comme ces travailleurs déplacés laissaient assez judicieusement leurs propres femmes et filles dans les fermes familiales, les quelques 10 000 familles blanches de la ville se sentaient parfois agressées sexuellement.

Les managers Africains, qui faisaient partie de la nouvelle élite africaine, essayaient de profiter sans vergogne de leur puissance pour asservir sexuellement les femmes blanches les plus vulnérables. Ces multimillionnaires africains ne pouvaient pas dépenser tout l’argent qu’ils gagnaient. Puissants et politiquement prééminents, ils étaient intouchables. Des hommes qui acceptaient ou donnaient des pots-de-vin par millions, mais qui ne résistaient pas au pot-de-vin le plus précieux, celui qui incluait dans la transaction une jolie femme blanche ou, plus rare encore, une adolescente blanche.

Où les trouvaient-ils? Eh bien, le pays avait besoin d’expatriés pour diriger les entreprises. Des expatriés qui se rendaient compte trop tard qu’ils avaient obtenu le poste, ou remporté le contrat, parce que leur femme était une beauté, ou que leurs filles avaient un sourire angélique.

Plusieurs légendes circulaient sur les fonctionnaires du gouvernement. Lorsque l’homme blanc éprouvait des difficultés pour obtenir un document officiel, un certificat, un renouvellement de permis, etc, il pouvait sortir une liasse d’argent liquide, et la glisser discrètement dans la poche du fonctionnaire. Mais s’il ne disposait pas de liquidités suffisantes, et s’il avait une épouse plutôt jolie et pas trop farouche, il pouvait inviter l’Africain à passer le week-end chez lui. Toutes ses tracasseries administratives étaient alors simplifiées.

Une fête était alors organisée à la maison, et l’invité était convenablement diverti. Pour les apparences, la femme était choquée par les gestes inappropriés et les propositions directes de l’Africain. Pendant ce temps, le mari faisait semblant d’être occupé ailleurs. Et lorsque l’affaire était faite, et le contrat conclu, les gens disaient : « Oh, tu sais… Il faut en tirer le meilleur parti. Il y a toujours quelque chose d’agréable »

Alors, oui, bien sûr, profitons-en… pendant que la femme blanche couine de plaisir, parce que l’énorme bite africaine qui s’enfonce en elle lui retourne le cerveau, au point que, bien plus tard, loin d’Afrique, elle continuera de rechercher des hommes noirs pour retrouver ce plaisir indescriptible. Donc, pendant que madame exprime à haute voix ses sensations, monsieur le mari blanc, revenu discrètement, assiste clandestinement au exploits du fonctionnaire noir. À plusieurs reprises, toute la nuit, et le matin aussi, une fois que le mari blanc est parti travailler, la jolie femme blanche subissait les assauts de ces taureaux noirs si bien dotés pour le sexe.

Robert et Sarah formaient un jeune couple britannique typique, originaire des monts d’Écosse. Ils se considéraient comme éduqués et sophistiqués. Des européens qui savaient tout sur tout. L’Afrique devait leur fournir une éducation brutale dans ce monde féroce. Une éducation que la très jolie Sarah, à la belle silhouette, a vraiment apprécié ! Après quelques réajustements, Rob est également parvenu à en profiter.

Rob travaillait dans une multinationale américaine qui a des agences partout dans le monde. Une opportunité s’est présentée de travailler en Afrique. Rob et Sarah avaient peu voyagé, et surtout en Europe. Dans un désir de dépaysement, ils ont décidé de postuler pour voir le monde. Ils étaient ravis et confiants au moment de profiter de cette aventure.

Ils arrivèrent dans une petite ville industrielle régionale, et furent logés dans une ravissante villa coloniale. Rob remplaçait un expatrié qui rentrait chez lui. Leurs présences se chevauchaient pendant un mois afin que les anciens puissent former les nouveaux en leur inculquant les usages locaux. John a expliqué à Rob qu’il ne devait jamais laisser Sarah seule. Ce pays était un vrai coupe-gorge, et une femme seule pouvait être dépouillée n’importe où, même chez elle.

Pour protéger Jane, sa femme, il avait engagé un majordome, Abdel. Un Africain costaud, qui jouait un rôle de chef d’équipe auprès des domestiques en les terrorisant. Ce majordome logeait bursa escort sur place, et protégeait Jane de tous les dangers qui la guettait. Quand elle allait faire des emplettes, il conduisait la voiture. Quand John était absent, il restait auprès de Jane 24/24H. Rob a deviné que cet homme représentait un mari dans tous les sens du terme. Il l’a fantasmé avec une excitation érotique, imaginant Jane, ou même Sarah, dans les bras de cet Africain.

Jane a renseigné Sarah sur les codes de conduite, à quoi s’attendre, ce qu’il fallait faire et ne pas faire, et en particulier se protéger les hommes africains. Sarah capta l’étrange inflexion de sa voix, mais l’ignora. Peu à peu, les deux couples ont appris se connaître. Le couple d’anciens semblait ravi de raconter des histoires sexuelles exotiques et détaillées sur l’Afrique, ce qui embarrassait et excitait à la fois Rob et Sarah. Quand Abdel, accompagnait les femmes en voiture, pour faire des emplettes, Jane montait à l’avant à côté du conducteur et Sarah à l’arrière.

Mais très vite, Sarah a vu la main d’Abdel s’incruster entre les cuisses de Jane. Questionnée, celle-ci a confié à son amie que le majordome n’aimait pas qu’elle mette des pantalons. Il ne voulait la voir qu’en jupe, ou en robe, pour qu’elle soit accessible. Devant l’étonnement de Sarah, Jane a avoué, en rougissant, qu’il était son amant. Expliquant, pêle-mêle, la chaleur de l’Afrique, le désœuvrement, et la joyeuse insistance des hommes d’ici. Ce qui intriguait particulièrement Sarah, c’est que le majordome, Abdel, était affreux. Le visage grêlé, couvert de cicatrices tribales, et son regard méchant qui lui donnaient un air effrayant.

D’ailleurs, elle a encouragé Sarah à faire de même ! Sarah a été choquée, mais l’idée érotique avait pris racine. En effet, dès qu’elles étaient dans la foule, au marché comme dans les commerces, les mains des frôleurs se glissaient sur elle. Et chaque fois qu’elle essayait de foudroyer l’impudent du regard, elle se heurtait à un regard effronté et rieur, comme s’il lui avait juste fait une bonne blague.

À plusieurs reprises, ils ont assisté à quelques gestes déplacés d’Abdel. Rob et Sarah étaient embarrassés par cela, et troublés par l’acceptation désinvolte de John. Les relations amoureuses de sa femme avec le majordome africain étaient étranges. Cet homme, qui n’était qu’un serviteur, semblait avoir une relation dominante auprès de sa patronne ! Néanmoins, la nuit, leurs propres ébats amoureux étaient épicés par ce qu’ils avaient vu et entendu dans la journée.

Pendant les derniers jours avant la passation de pouvoir, leur fille de 18 ans, très belle jeune femme, est revenue du pensionnat privé où elle était interne. À la grande surprise de Rob et Sarah, moins d’une demi-heure après son arrivée, Abdel l’accueillait en la suivant dans sa chambre. Les parents, sirotant leur thé sur la terrasse, souriaient béatement sans s’inquiéter de savoir ce que leur fille trafiquait dans sa chambre avec le majordome.

Après leur départ, Rob et Sarah se sont installés dans une vie familiale tranquille. Ils aimaient leur vie en Afrique, la chaleur, les parfums, les couleurs, et cette apparence de luxe. Rob travaillait dur, mais n’a jamais voyagé pour affaires. Sarah s’est relâchée, jouant le rôle de la maîtresse blanche de la villa coloniale. Elle était très désinvolte dans ses tenues chez elle. Porter des vêtements légers et vaporeux dans sa villa, comme on le fait en Europe, sans se soucier de la présence du majordome africain. Elle faisait ses exercices de gym quotidiens en bikini.

Elle avait connaissance des regards concupiscents des domestiques sournois, et elle s’amusait à faire germer une érection chaque fois qu’elle faisait ses exercices. Elle a ignoré les sollicitations. Bien qu’elle soit secrètement émoustillée par la bosse dans leur short. C’était presque comme si elle défiait le majordome de faire un pas vers elle.

Ils se baladaient à travers le pays les jours de repos, très conscients des regards lubriques des hommes africains. Dans un hôtel qui avait un espace aquatique de détente, Rob s’était éclipsé quelques minutes pour aller chercher des boissons. Quand il est revenu près de sa femme, il a trouvé Sarah courtisée par trois africains. Plutôt que de rejoindre sa femme, il prit place à une table éloignée pour regarder.

Sarah l’a vu et elle a décidé de s’amuser en flirtant avec les Africains. Elle leur a permis de la recouvrir d’ambre solaire, pendant qu’elle était allongée au bord de la piscine. Comme ils étaient trois, chacun s’est vu attribué un morceau à huiler. Rob s’inquiétait des caresses insistantes de ces gaillards, alors il s’est approché. Ils ont été surpris de découvrir qu’elle avait un mari, mais ça ne les a pas effrayé. Ils ont continué de s’amuser en la massant délicieusement avec leurs regards rieurs. À l’insu de Rob, l’Africain travaillant sur ses cuisses avait glissé sa main à l’intérieur du slip de Sarah et l’avait amenée à un petit plaisir secret. C’était sa première incartade, et Sarah n’en a pas parlé à son mari…

Rob avait son propre secret. Dans ce même hôtel, bursa escort bayan il avait passé un moment dans les thermes. On lui avait raconté que les taureaux africains amenaient des femmes blanches dans cette endroit. Curieux d’épier un couple en pleine action, il s’était installé dans un coin. Il se détendait, lorsqu’un immense africain vint s’asseoir près de lui. Il enleva sa serviette et une grosse bite noire apparut. L’Africain a vu le regard estomaqué de Rob, et il a remarqué que sa petite bite blanche s’agitait. Sans que Rob ne sache comment, il suçait et léchait la grosse bite noire. Rob n’en a pas parlé à sa femme…

Rob et Sarah s’étaient maintenant habitués à la manière désinvolte dont les hommes africains les touchaient et les pelotaient lorsqu’ils étaient au milieu d’une foule dense. Ils ont été parfois choqués et excités en voyant des couples blancs disparaître dans leurs chambres d’hôtel, suivis par des taureaux noirs, juste après avoir fait connaissance, et sans cacher leurs intentions. Cependant, mis à part les récits de leurs prédécesseurs, ils avaient vu peu de sexe interracial autre qu’à cet hôtel, où ils avaient subi des avances physiques très précises.

C’est au bout de six mois qu’Abdel est passé à l’attaque. Ils ont été choqués par son modus operandi. Il avait espionné pendant six mois les transactions frauduleuses de Rob au marché noir. Rob, très naïf, avait noté toutes ses transactions dans un registre. Abdel n’avait eu qu’à voler le registre. Il menaçait de le remettre à la justice. C’était un crime très grave. Rob pouvait aller en prison, et Sarah aussi pour complicité.

Rien ne semblait plus ravir les Africains que de mettre une jolie femme blanche en prison. Ensuite, ils pouvaient faire d’elle tout ce qu’ils voulaient. Rob aussi, aurait quelques désagréments. Périodiquement, on entend des histoires horribles sur les prisons africaines. Les Africains eux-mêmes ont terriblement peur d’être emprisonnés. L’idée que les charmes savoureux de Sarah soient accessibles aux hommes de la prison était une pensée intolérable !

Rob a offert à Abdel tout ce qu’il avait, argent, cadeaux, même ce qu’il n’avait pas. Il a tout refusé. Il voulait Sarah dans son lit ! Une fois par semaine, à lui pour toute la nuit ! Ils étaient à la fois outrés et allumés. Ils voulaient se mettre d’accord pour accepter, mais ils ne savaient pas comment se le dire. Abdel a insisté et, à contrecœur, ils ont accepté. Mais Abdel n’avait pas tout révélé.

Prétendant vouloir ne pas prendre le risque d’être accusé de viol, il voulait un “mariage à l’africaine”. Rob devait lui donner sa femme, et son ami Scherzo serait le témoin. De plus, pour s’assurer qu’il n’y avait pas de malentendu, les deux, Rob et Scherzo, devaient assister à la nuit de noces. Sarah a compris un peu tard que le majordome avait soigneusement planifié ce moyen pour la mettre dans son lit. Ils étaient coincés, et cette pensée lui a mouillé sa petite culotte. Rob a essayé de lutter avec sa propre excitation de voir son fantasme se réaliser, c’est-à-dire voir Sarah aux prises avec un grand Africain noir.

La nuit de noces a commencé par un choc pour Sarah. Elle n’avait pas réalisé que cet homme avait une bite aussi grosse ! Cela ne pouvait pas rentrer ! Elle allait être déchirée, estropiée ! Néanmoins, dans sa tenue de mariée spéciale, c’est-à-dire entièrement nue, légèrement excitée, elle s’est laissée conduire jusqu’à la couche nuptiale.

Rob a également été choqué par la taille de l’engin d’Abdel. Il regardait Abdel enfoncer son gros morceau de viande noire dans sa femme qui criait et se tortillait. Il a vu sa femme recevoir une baise incroyablement vigoureuse et prolongée. Terrifié, il a compris qu’elle ne serait plus jamais la même. Abdel a littéralement cloué sa femme sur le lit en la prenant ! À un moment donné, il a eu envie d’intervenir en écoutant sa femme gémir sous l’assaut sauvage qu’elle recevait. Mais il a réalisé que sa femme ne gémissait pas de douleur, mais de plaisir…

Le témoin a adoré le spectacle sur le lit. Il a sorti avec désinvolture sa grosse bite noire et s’est masturbé tout en regardant Abdel baiser Sarah. Il a remarqué l’excitation de Rob, il a ri en se moquant de lui, puis il lui a fait signe de s’agenouiller. Il a fallu peu de persuasion pour que Rob se mette à le sucer.

Sarah a été baisée très, très longtemps par Abdel. À un moment donné, il l’a retournée pour la prendre en levrette. Elle a été choquée de voir son mari agenouillé, en train de sucer la bite noire de Scherzo. Pour elle, que ça dégoûtait de sucer la petite bite de son mari, ce fut un énorme bouleversement de voir son mari dans cette posture. Cela a brisé sa résistance mentale. Elle s’est effondrée en s’abandonnant totalement à son amant africain.

Cette nuit-là, tous les deux sont devenus des jouets sexuels de ces grosses bites noires. Abdel a insisté pour que Sarah dorme avec sa grosse bite enfouie en elle afin que sa semence ne s’échappe pas. Pendant la nuit, elle s’est levée pour aller aux toilettes. Rob s’est précipité pour essayer de lui parler. Mais, elle est escort bursa retournée se coucher contre Abdel, et elle a elle-même glissé lentement l’énorme bite de l’Africain dans sa chatte, en gardant jusqu’au bout ses yeux fixés sur ceux de son mari.

Le lendemain matin, Abdel avait changé d’avis. Il voulait Sarah dans son lit six nuits par semaine, et Rob pourrait avoir sa femme une fois par semaine, s’il ne faisait pas d’histoires. Rob devrait coucher dans la chambre d’amis. Abdel prétendait que Sarah était une affaire exceptionnelle au lit, et qu’il n’avait jamais baisé une femme aussi douée. Rob regarda sa femme qui souriait timidement à Abdel, puis baissa les yeux. La semaine suivante a été traumatisante pour Rob qui a dormi seul, en érection permanente, en écoutant les cris énamourés de sa femme dans la chambre voisine.

Abdel était ravi de découvrir que Sarah ne pratiquait ni la fellation ni la sodomie avec son mari. Une si jolie femme blanche, quel gâchis ! Abdel s’est moqué de l’incompétence de Rob en tant que mari, en omettant d’enseigner à sa femme comment servir correctement un homme. Rob a dû regarder pendant qu’Abdel lui faisait une démonstration. Les protestations de Sarah n’ont servi à rien, elle a dû s’exécuter. Comme elle tenait manifestement à plaire à son amant, elle a réalisé une excellente prestation avec sa bouche.

Ensuite, les quolibets d’Abdel envers Rob ont augmenté quand il s’est agi de sodomie. Il voulait maintenant apprendre à Rob comment baiser une femme dans le cul ! Sarah a protesté, indiquant que c’était déjà assez douloureux dans sa chatte. Abdel, bien sûr, n’a rien voulu entendre. Elle était sa femme, elle devait obéir, et satisfaire ses besoins. Sans discussion ! Sarah a été punie pour son impertinence. Rob a dû regarder Abdel lui montrer comment assouplir le caractère d’une femme pour s’assurer sa soumission.

Les mains liées, Sarah a été fouettée sur la plante des pieds. Rob, assis sur le dos de Sarah, a dû la maintenir à plat ventre sur le lit pour qu’elle ne s’échappe pas. Abdel lui a ensuite présenté sa bite devant sa bouche pour le préparer. Soumise, Sarah l’a convenablement léché partout, en le suppliant de lui pardonner d’avoir été mauvaise !

Sarah a silencieusement imploré Rob de la protéger. Mais Rob savait qui était le plus fort, et il tenait consciencieusement les fesses de sa femme écartées pendant qu’Abdel forçait sa grosse bite noire dans les fesses de sa jeune femme. Il a fallu plusieurs jours de baise dans son cul avant que Sarah ne commence à apprécier cela.

C’était deux mois avant la prochaine colère. Abdel était perplexe. Il ne comprenais pas. Comment, après deux mois de baise, six nuits par semaine, pourquoi Sarah n’était-elle pas enceinte? Sarah a avoué qu’elle prenait la pilule, et lui a expliqué comment cela fonctionnait. Il est entré dans une violente colère !

Ils ne l’avaient jamais vu ainsi. Il les a vraiment effrayés ! Comment Sarah a-t-elle osé utiliser la magie pour empêcher sa grossesse? Pendant deux mois, il avait gaspillé sa semence ! Il était complètement hors de lui. Il obligea Sarah à détruire son stock de pilules. Puis il a insisté pour que Rob regarde pendant qu’il baisait immédiatement Sarah. Il a banni Rob du lit conjugal jusqu’à ce que Sarah soit enceinte. Ils les a menacé, s’ils recommençaient à lui mentir, de les emmener dans un bordel, une boîte d’abattage tenue par des amis à lui. Dans cet endroit, destiné aux travailleurs isolés, les filles pouvaient faire 50 passes par jour, les jours de paye. Abdel était certain qu’une jolie femme blanche aurait beaucoup de succès.

Il leur a dit qu’il avait promis Sarah à ses amis une fois qu’elle serait enceinte. Il ne voulait pas risquer que l’un d’eux la mette enceinte. Ses amis s’étaient moqués de lui pour ne pas avoir réussi à mettre Sarah enceinte. Maintenant, cela allait se terminer. Il allait engrosser Sarah, puis l’offrir à ses amis pour leur plaisir ! Rob et Sarah, muets et intimidés, n’ont pas osé le contredire.

Peu de temps après, Sarah était effectivement enceinte. Ravi, Abdel a organisé une fête. Il allait redevenir père ! Apparemment, il avait engrossé toutes les femmes des expatriés pour lesquels il avait travaillé ! Abdel a royalement offert Sarah à ses amis. Sarah a été baisée toute la journée par des africains ravis. Pendant que Rob versait des boissons, passait les plats, et occasionnellement satisfaisait avec sa bouche les hommes qui attendaient.

Sarah, agenouillée sur un tabouret, recevait les hommages des africains qui se relayaient en elle. Défoncer sa bouche, sa chatte ou son cul. Au choix. Elle adorait ça, mais c’était fatiguant. Ses protestations pour la forme ont vite été écartées par un Abdel déchaîné.

C’est plus tard qu’Abdel, confiant dans le contrôle qu’il avait sur ce couple de soumis blancs, leur a raconté toute l’histoire. Il a mentionné que lui et son groupe d’amis avaient été formés par le chef de la police locale. Il leur avait appris à piéger les expatriés, pour les faire chanter sexuellement. Bien évidemment, quand ça marchait, il réclamait son dû, une nuit de plaisir avec la femme blanche. Il leur a laissé le choix. Soit arrêter Sarah sous un prétexte quelconque, et lui faire passer une nuit au poste. Soit inviter le chef de la police chez eux. Sarah et Rob ont préféré la deuxième solution.

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