Visite d’une ex…

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Visite d’une ex…La sonnerie du téléphone retentit. Je jette machinalement un regard sur l’appareil. Le numéro qui s’affiche ne m’est pas connu. Intrigué, et au contraire de mes habitudes, je décroche. Sophie qui m’observe voit mon état passer de l’interrogation, à l’étonnement pour finir sur un léger sourire. Alors que je raccroche, elle me demande :- c’était qui ?- Tu ne me croiras jamais…- Ben dis moi…- Une très vieille connaissance…- …- Sabine !- Sabine ?!? LA Sabine ???- Oui.- Et pourquoi t’appelle-t-elle celle-là ?!?Sophie affiche son air de jalouse, et la fin de sa phrase est sans aucune ambiguïté possible. Lorsque je lui annonce qu’elle est de passage dans la région et que je l’ai invitée à prendre le café pour le début de l’après-midi, la tempête n’est pas loin d’exploser. Il faut avouer qu’avant de connaître Sophie, et dans ma prime jeunesse, cette femme, sans être la première, m’a initié aux joies du sexe. Ma petite femme arbore cependant un petit air satisfait en me rappelant que je dois justement m’absenter et que je ne peux remettre mon rendez-vous. Je saisis la balle au bond et lui déclare donc que ce sera à elle de recevoir Sabine, et qu’elles pourront en profiter pour apprendre à se connaître. Sophie me défie du regard et part fâchée.***Lorsque le carillon de l’entrée retentit, Sophie n’était pas des plus rassurée. Elle était furieuse contre son homme, mais elle lui avait promis de prendre sur elle et de faire bonne figure. Il lui avait demandé ce service et elle n’avait pu lui refuser. Cependant, une sourde appréhension l’animait. Ouvrant la porte, elle se trouva face à une femme à la cinquantaine épanouie qui lui souriait. La jaugeant du regard, Sophie se décida cependant à arborer un faible sourire et s’effaça pour laisser le passage.Sur un ton très impersonnel et dénué de toute chaleur, elle invita Sabine a s’asseoir au salon, et se plaça face à elle. Aucun mot n’avait encore été prononcé et un malaise certain se faisait jour. Si elle avait promis de recevoir Sabine, elle n’avait nullement garanti qu’elle serait aimable ou qu’elle ferait le moindre effort pour l’être.- Jean n’est pas là ?- Non.Un nouveau silence s’installa pendant plusieurs minutes. Sabine ne savait quelle attitude adopter, et Sophie semblait réjouie de la sentir mal à l’aise. Elle se leva cependant pour quitter la pièce, et revint quelques minutes plus tard pour déposer deux tasses de café sur la table. La politesse exige quand même quelques sacrifices…Les deux femmes se jaugèrent à nouveau, toujours dans le silence le plus complet. Une chape de plomb semblait s’être abattue et le silence devenait oppressant. Sophie fixait du regard la femme qui lui faisait face, avec un air de défi très fortement teinté d’antipathie. Elle se maudissait d’avoir cédé à Jean et de devoir subir ces instants. Soudain, le rouge monta aux joues de Sabine, qui éclata :- bon, ras-le-bol !!! la salope, c’est moi ! la cougar, oui, c’est moi !!! et alors !!! Tu n’étais pas avec lui à l’époque !!!Elles se regardèrent en chien de faïence, se défiant du regard… avant d’éclater de rire toutes les deux.- tu sais, dis Sabine, tu n’as rien à craindre de moi… je ne fais pas le poids…- tu exagères !!! T’es super bien foutue !!!- merci ! Mais à côté de toi… – ohhhh… n’exagère pas quand même…- et puis, Jean était fou de toi… je pense qu’il l’est toujours…- j’espère…- ben si !!! Jean avait raison… tu es très belle.et de se mettre à bavarder, comme de vieilles amies ne s’étant pas vues depuis des décennies. Après un petit moment de confidences, Sophie voulut en connaître davantage. – Sabine, j’ai besoin de savoir… Jean et toi…- comment nous en sommes venus à coucher ensemble ? C’est ça ?- Oui… Je sais que je suis curieuse, mais j’ai besoin de savoir…- Il ne t’a rien dit ? Non ? – Il est très discret…- Bon… mais ça reste entre nous… et il faudra que toi aussi, tu me racontes quelque chose de croustillant…- Sur Jean et moi ?- Sur toi et… sur toi et un homme… pas forcément Jean…Sabine fait un clin d’œil subjectif à Sophie, plein de sous-entendu.- Mmmm… d’accord… mais tu commences… je te raconterai après…- Resserre moi un peu de café alors…Les deux femmes se rapprochèrent l’une de l’autre, prenant un ton et une attitude de confidence. Sophie sentit son cœur battre un peu plus vite. Une sourde excitation venait de l’envahir.Sabine ferma les yeux, se remémorant ce lointain souvenir :« Je m’en souviens, comme si c’était hier… A l’époque, je n’avais que 35 ans et j’étais mariée à Grégoire depuis près de 14 ans. Nous avions tous les deux eu très tôt notre garçon. Malgré la grossesse, j’avais rapidement retrouvé un corps que je pourrais qualifier de rêve. J’étais fière et je passais beaucoup de temps dans la salle de sport afin de maintenir mon ventre plat et mes fesses bien fermes et rondes. J’ai toujours apprécié le regard des hommes dans la rue mais j’ai toujours été droite et fidèle dans ma relation avec Grégoire. Je cultive un esprit sain dans un corps sain. C’était un vendredi d’hiver. Grégoire et Tom étaient partis sur un coup de tête pour le week-end faire de la voile. N’aimant pas cette discipline, j’étais donc restée à la maison. Je m’étais levée ce matin là pour embrasser les deux hommes de ma vie avant de me glisser sous une bonne douche chaude et apaisante. En sortant je m’étais séchée et malgré la température ambiante j’observais mes tétons pointer dans le miroir. Mes mains glissaient sensuellement dans les creux de mon ventre avec la serviette. J’ai toujours aimé la douceur des caresses mais il est vrai que parfois j’aime retrouver le côté sauvage de Grégoire. Après m’être séchée, je décidais d’enfiler un petit string, mon pantalon de yoga blanc et un petit débardeur sans soutien. Après tout j’étais seule et je pouvais bien en profiter un peu ! Je m’étais glissée dans un pull rose trop large pour moi et étais allée prendre un café dans le salon. Dehors de petits flocons de neige tombaient du ciel et commençaient à recouvrir le jardin d’un fin manteau blanc. J’adore par-dessus tout me sentir douillette en hiver, à l’abri du froid. Je passais donc la matinée à me détendre avant de commencer le nettoyage. J’avais essuyé la poussière sur les meubles, fais un brin de repassage, changé les draps et mit une machine en marche. Il ne me restait plus que la vaisselle de la veille à faire. Je m’installais donc Escort à l’évier et contemplais un petit moment la beauté du paysage par la fenêtre. La neige avait pratiquement recouvert toute ma voiture et l’entrée de notre propriété. Au bout de quelques instants j’ai décidé de me mettre à la corvée et j’ai retroussé mes manches et plongé mes mains au milieu des assiettes. Malgré sa forme très moulante et serrée, mon pantalon de yoga tombait toujours un peu et je le remontais, les mains un peu mouillées, au-dessus de mon string. Je finissais de laver les assiettes et constatait que plein de restes, présents dans les plats, se retrouvaient au fond de l’évier. Pour ne pas continuellement boucher les canalisations, nous avions fait installer un broyeur avec mon mari. Je le mis donc en marche et rapprochais les restes de l’orifice. Soudain, à cause des multiples mouvements et de sa taille inappropriée, la manche de mon pull retomba de mon coude et se prit dans le broyeur. L’effet de surprise me fit faire un bon et j’arrêtais immédiatement le broyeur. Mes doigts étaient indemnes mais mon cœur, lui, avait bien failli s’arrêter. Je m’apprêtais donc à me retirer mais la manche de mon pull, prise dans le petit trou et dans les lames, m’en empêcha. Instinctivement je me mis à tirer sur la manche pour essayer d’arracher le tissu, mais sans succès : il était trop large et trop emmêlé. Je retirais tant bien que mal mon pull et essayais d’ôter ma main de la manche mais là encore, ma tentative se solda par un échec. Je n’avais pas mal à la main mais celle-ci était bloquée à l’intérieur. Je jetais un coup d’œil alentours pour trouver une solution mais je n’en trouve aucune. Pendant plus d’une heure j’essayais par tous les moyens de me défaire… mais sans aucun résultat. Je commençais à paniquer ! J’espérais que je ne devrais pas attendre le retour de mon mari pour me libérer ! Je devais lancer un appel à l’aide. Connaissant bien le voisinage, quelqu’un m’entendrait bien et viendrait m’aider. J’ouvris donc la fenêtre avec ma main libre et commençais mes appels de détresse. Au bout d’une demi-heure je vis Jean, ton mari, et à l’époque, l’ami de mon fils, passer la tête par-dessus le portail. Dieu soit loué, lui dis-je avec un immense sourire, tu peux venir m’aider Jean ? Je suis bloquée par le broyeur ! Oui bien sûr madame, me répondit-il.Avant cette histoire, je n’avais jamais trop prêté attention à lui, même s’il était plutôt bien fait. Il avait 16 ans et je l’avais toujours considéré comme un bon camarade pour Tom. Je pense qu’il le savait. Mes amies le disaient gentil et serviable… j’allais bien voir. En tout cas, c’était le seul à pouvoir me délivrer !J’entendis la porte s’ouvrir et les pas se rapprocher derrière moi. J’étais complètement épuisée et affalée sur le rebord de l’évier. Je laissais reposer mon dos, endoloris par la position, et me cambrais naturellement sans faire attention aux idées que ma nouvelle position pourrait donner à mon sauveur et sans penser qu’un pantalon de yoga blanc et étiré pourrait laisser apparaître mon petit sous-vêtement. Ces idées secondaires étaient bien loin de moi car mon objectif principal était de me délivrer de ce broyeur ! – Bonjour Jean, dis-je au jeune homme qui venait de faire irruption dans la cuisine.- Bonjour madame. Alors comme ça, vous vous êtes coincée dans l’évier ? – Oui, je me suis retrouvée prise au piège par inadvertance. Impossible de m’en défaire. Tu voudrais bien me donner un coup de main ? – Oui bien évidement.Je sentais son regard descendre sur ma chute de rein mais je n’y fis pas plus attention que ça. Je lui proposais de me tirer, ainsi, peut-être, la manche se déchirerait-elle. Jean acquiesça et vint se mettre derrière moi. Je sentis un objet dur se serrer contre mes fesses, mais je me refusais à penser que c’était son sexe. J’avais oublié qu’à cet âge, un rien mettait les jeunes hommes dans tout leur état… Je commençais à rougir et la situation devenait inconfortable. Il fallait que je me libère au plus vite. Je sentis les mains viriles de Jean se poser sur mes hanches pour les étreindre. Je lui donnais le signal et tirais de toutes mes forces sur cette satanée manche. Je faisais des allers retours saccadés et à chaque fois que Jean me tirait vers lui, je sentais son sexe s’écraser sur mon fessier. Ça avait quelque chose d’excitant mais c’était surtout gênant de le sentir aussi en forme. Ses mains glissèrent de mes hanches à mon débardeur qu’il agrippa de toutes ses forces et tira vers lui. A chaque aller-retour mon petit haut laissait de plus en plus échapper ma poitrine si bien qu’il ne fallut que peu de temps pour que celle-ci apparaisse au grand jour. Nous nous arrêtâmes immédiatement. Jean avait l’air gêné mais je pense qu’il profita allègrement de cette vue sur mes seins de bonne taille et sur mes tétons quelque peu excités. Le temps que ma main libre retire mon débardeur vers le haut, Jean avait déjà bien pu s’imprégner de ces images. J’espérais néanmoins que cela ne lui donnerait pas des envies et que surtout il n’irait pas le chanter sur tous les toits ! Jean restait derrière moi tandis que je reprenais mes esprits. Je me sentais vulnérable, complètement à sa merci et il fallait que je trouve un moyen de m’en sortir. Une idée me vint à l’esprit. Pourquoi ne pas utiliser un lubrifiant ? Je demandais à Jean, qui ne quittait plus mes courbes du regard, d’aller chercher un tube de gel pour les mains dans la salle de bain. Après un moment de latence, celui-ci s’exécuta puis revint avec le flacon. – Mets-en sur ma main et la manche, lui dis-je. Jean s’avança et appuya comme un sauvage sur le tube. Une quantité important se déversa sur la cible mais en reculant, il en répandit sur mon haut et sur mon pantalon de yoga. Je n’en revenais pas ! Soit il était bête soit il l’avait fait exprès ! Il se confondit en excuses et essaya, en apparence, de remédier à son idiotie. Il passa ses mains sur mon haut pour enlever le surplus, en en profitant pour palper un de mes seins à moitié sorti. Je le lui fis remarquer d’un air sévère mais il poursuivi, profitant certainement de ce que j’étais prisonnière. Ses mains continuèrent d’étaler le gel sur mon pantalon qui devenait transparent. Je sentais le liquide se répandre sur mes habits et ma peau. Je ne savais toujours pas s’il le faisait exprès ou s’il était vraiment demeuré mais mon string devait désormais apparaître Escort Bayan aussi bien sur ma chute de rein, qu’à travers mon pantalon… et je me sentais nue. Jean continuait de s’excuser tout en me matant et en caressant allègrement mes petites fesses. Malgré moi je sentais l’excitation monter et mon petit sous-vêtement se mouiller. Je devais cependant reprendre la main et trouver un moyen de me libérer ! Je lui demandais d’arrêter, ce qu’il fit aussitôt, et je plongeais ma tête entre mes bras pour réfléchir. La seule solution que j’envisageais était de démonter l’ensemble du système pour me permettre de me retirer. J’allais faire part à Jean de mon idée lorsque j’entendis un cliquetis de ceinture et un bruit de tissu tomber au sol. Je me retournais et vis Jean nu, un sexe de bonne taille gorgé de sang pointant vers le haut de manière arrogante. – Qu’est-ce que tu fais à poil ? lui dis-je en apparence très énervée. Il ne me répondit pas et se contenta de baisser mon pantalon de yoga moulant et imbibé de gel à mi-cuisse. Mon postérieur lui était tout offert et je me sentis trahie par mon sauveur. Jean prit son pieu dans une main, souleva mon string et glissa son engin dans le sillon de mes fesses. Je n’en revenais pas qu’il ose me faire ça ! Moi, la mère de son ami ! Je lui demandais d’arrêter malgré le fait que je commençais à ressentir des envies de plus en plus fortes… et lui ne semblait pas vouloir s’arrêter. Il profitait de ma faiblesse et de mon emprisonnement pour me faire subir tout ce dont il avait toujours rêvé.Jean frottait son sexe entre le sillon de mes fesses et mon petit string. Personne ne m’avait jamais fait ça… et j’appréciais… Ma raison et mon cœur me disaient de le stopper par tous les moyens mais mon bassin commençait à suivre ses mouvements et en redemandait. Je réalisais que j’étais complètement à sa merci ! Toujours sans un mot, mon jeune étalon retira son sexe de mes fesses trempées de gel et baissa autant que possible mon petit string. Je sentis son regard se poser sur mon entrejambe fraîchement épilé, sa main étreindre ma hanche pour ne pas que je bouge et son autre main saisir son sexe plus gonflé que jamais. Je décidais de fermer les yeux pour tenter d’oublier l’absurdité de la situation lorsque je sentis son gland se coller entre mes lèvres, remontrer mon sexe jusqu’à mon anus avant de redescendre et recommencer plusieurs fois. Je sentais ma mouille couler à chaque passage de son sexe. Je savais que ça devait l’exciter mais je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher ! – Ne fais pas ça Jean, lui susurrais-je comme s’il allait m’écouter, tu vas avoir de graves problèmes crois-moi…Mais il n’avait que faire de mes menaces. Je le sentis poser son gland à l’entrée de mon vagin et pousser doucement l’entrée.- Non ! Non ! Non ! Tu ne peux pas faire ça ! continuais-je de susurrer, le souffle coupé par le plaisir. Ce n’est pas bien tu ne peux pas faire ça… Jean ! Mais il continua et je sentais désormais la grosseur de son sexe écarter au maximum mon orifice. Je ne pus m’empêcher de pousser un râle de plaisir que Jean interpréta comme une invitation à continuer. Que pouvais-je faire de toute façon ? Je le sentais agripper mes hanches et me tirer contre lui. J’écartais inconsciemment les jambes pour lui laisser de la place et courbais un peu plus le dos pour faire ressortir mes fesses. Cela lui donna encore plus d’envie puisqu’il se mit à me donner de puissants coups de reins. Il tira sur mon débardeur et mes seins ressortirent à nouveau. Je le sentis se cambrer pour venir les malaxer tantôt délicatement et tantôt sauvagement. Je lui susurrais une nouvelle fois de tout stopper, dans un ultime espoir, mais en réalité je n’avais aucune envie qu’il arrête. Le plaisir qu’il me donnait était intense. Je m’efforçais de ne pas jouir mais je ne pus me retenir plus longtemps. Je sentis mon bas ventre s’enflammer tandis qu’il me labourait le vagin. Je mordis mes lèvres mais le plaisir fut plus fort et je hurlais.Jean continuait et je ne pouvais m’empêcher de jouir comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Sa queue me pénétrait profondément, fouillant ma petite chatte, alternant les rythmes, me rendant folle. Je le sentis soudain se retirer de mon vagin sans prévenir. J’ai pensé qu’il voulait jouir en dehors mais je me trompais. Je le sentis s’agenouiller derrière moi et lécher avec une violente tendresse ma rondelle. – Qu’est-ce que tu fais ? lui demandais-je en ne pouvant m’empêcher d’apprécier les allées et venues de sa langue. Tu ne peux pas faire ça Jean ! Ça a assez duré et je ne te permets pas de faire ça ! Je n’ai jamais permis à personne de le faire ! Jean !!! arrête maintenant ! Il ne semblait pas m’écouter et continuait de lécher mon petit trou. Je n’avais jamais voulu essayer la sodomie mais je devais reconnaître que ses coups de langues experts me faisaient le plus grand bien. Je devinais ce qu’il voulait mais j’avais peur d’avoir mal ! Son sexe était tellement imposant, et mon petit trou si serré ! Je lui quémandais une nouvelle fois de ne pas aller plus loin. Jean se releva et pendant un court instant j’ai pensé qu’il m’écouterait mais il n’en fit rien. Je le sentis poser son gland à l’entrée de mon anus trempé de bave. Il l’enfonça petit à petit tandis que j’étais partagé entre la douleur et le plaisir ! Je me sentais à sa complète merci et je ne pouvais rien faire pour me libérer. Du moins, je ne voulais rien faire. Je sentis son pieu m’investir millimètre par millimètre. J’essayais de me détendre pour faciliter le passage de son engin. Je parvins tant bien que mal à hisser ma jambe sur un meuble de la cuisine pour essayer d’écarter au maximum mon orifice. Cette opération fut une victoire car Jean trouva plus de faciliter pour pénétrer le reste de sa queue dans mon petit cul. Une fois complètement en moi, Jean resta immobile. Je sentis son sexe se durcir encore et mon anus se détendre peu à peu. Jean était doux et méticuleux. Il entama de courts et lents allers-retours tandis que je grimaçais de la douleur divine qu’il m’infligeait. Dieu que c’était bon !!! Sous l’effet du plaisir, je me surpris à glisser ma main entre mes cuisses et caresser mon clitoris. Sentant une nouvelle jouissance monter en moi, Jean accéléra le rythme tout en restant mesuré dans ses coups de reins. Je remis ma jambe à terre et Jean commença alors des allers-retours plus puissants. Je Bayan Escort ne pouvais m’empêcher de crier de plaisir. Jamais je n’avais ressenti une telle envie. J’avais envie, envie qu’il continue. J’avoue que pour rien au monde, je n’avais envie qu’il arrête. Je me suis sentie relayée au rang d’objet, prisonnière de ses désirs et de ses volontés. Ses mains étreignaient mes hanches tandis qu’il labourait de plus en plus mon petit trou. Je le sentais quasiment me soulever à chacun de ses impétueux coups de reins. Mais dieu qu’il me faisait du bien. Je me dressais sur la pointe des pieds et subissais de plein fouet son œuvre. Me tirant vers lui violemment et de toutes ses forces pour m’empaler sur sa bite, Jean finit par déchirer ma manche et ma main se libéra. Jean s’arrêta brusquement. Je me retournais et le fixais dans les yeux. Je sentis la peur le gagner maintenant que j’étais libérée de mon entrave. Il devait penser que j’allais me retirer et lui en mettre une mais la seule chose que je pus faire fut de rapprocher mon bassin du sien, m’empalant ainsi sur sa queue, en lui susurrant : – Continue. Tu es si bon…Il recommença, incertain, à me sodomiser. Maintenant que ma main était libre je pouvais prendre appui sur le rebord de l’évier et jouer de mon bassin pour l’exciter encore plus et lui donner un spectacle dont il se souviendrait toute sa vie. Gardant son sexe en moi, je me relevais vers lui. Mon dos me faisait mal mais l’excitation me fit rapidement oublier ces longs moments penchés sur l’évier. J’arquais mon dos pour que sa prise sur moi soit plus facile et bandante. Nous restâmes un instant comme cela. Bizarrement Jean semblait avoir peur de m’étreindre. Je pris donc ses mains, relevais mon débardeur et les posais sur mes seins. Je retournais mon visage vers lui et lui tendis mes lèvres tendres. Je me fis chatte et je sentis son sexe se contracter dans mon petit trou. Je me mis sur la pointe des pieds puis redescendis doucement. La scène était terriblement excitante. Mon corps collé à celui de l’ami de mon fils, debout, nue et sodomisée en plein milieu de la cuisine. Je continuais mes lents et sensuels allers-retours sur son sexe tout en l’embrassant à pleine bouche. Sans m’enlever je fis glisser mon pantalon de yoga sur le sol. Je me sentais maintenant plus libre que jamais. Tout en restant collée au corps de Jean je levais ma jambe droite et celui-ci glissa sa main sous ma cuisse pour la retenir. Il commença alors à reprendre les rênes et entama des vas et viens rapides mais sensuels tout en me gardant collée à lui. Je plaquais ma main sur mon sexe, tantôt excitant mon clitoris tantôt enfonçant deux doigts dans ma petite chatte. Je gémis de plaisir sous les assauts répétés de Jean et me mis à mouiller encore plus intensément. Je sentais que cela lui plaisait de me voir prendre mon pied grâce à lui et il me fit comprendre qu’il ne pourrait se retenir longtemps. Je décidais alors de me retirer, non pas parce que je ne voulais pas recevoir sa semence au fond de mon cul mais plutôt parce que je voulais le sentir venir dans ma bouche. Ça non plus, je ne l’avais jamais fait, et l’idée ne m’était même jamais venue mais là, j’étais tout autre. J’avais envie de sa queue, envie de la voir exploser, envie de recevoir son hommage crémeux. Jean sembla déçu que je me retire. Il devait déjà se voir se finir seul. Il fut cependant agréablement surpris de me voir m’agenouiller devant lui avec un sourire coquin. Je me retrouvais pour la première fois devant son sexe. Il était grand, gros et imposant comme j’avais pu le sentir. Son gland pointait vers mon visage et ses bourses semblaient bien remplies. Je le saisis de ma main pour bien en mesurer la circonférence puis commença à le masturber rapidement. Je voyais Jean fermer les yeux et prendre plaisir à se faire branler par la mère de son ami. Je rapprochais mes lèvres de son sexe brûlant, plongeais son gland dans ma bouche humide, jouais avec ma langue puis enfonçais son pieu dans ma gorge. Jean rouvrit les yeux et me fixa comme ébahi par tant de dextérité. Je pense qu’il n’avait jamais eu droit à ce genre de traitement. Je gardais son sexe en pleine bouche. Mes lèvres ouvertes au maximum, je parvins à glisser ma langue en dehors et léchais ses bourses si douces. Je sentis son sexe se tendre de plus en plus dans ma bouche. Je me retirais,et entamais une divine fellation. Son gland gonflait de plus en plus et je le vis bientôt se saisir lui-même de son sexe et se masturber rapidement. Je me mis donc face à sa queue, la bouche ouverte, les yeux pétillants de désir et d’envie, tandis que Jean saisit violemment mes cheveux comme pour prendre appui. J’aimais son côté sensuel mais aussi son côté viril et sauvage, lorsque que tout respect et toute politesse sont gommés par les besoins primaires. La main de Jean se stoppa brutalement et je vis un gros jet de sperme jaillir. J’ouvris instinctivement ma bouche au maximum et recueilli les grosses giclées de semence qu’il m’envoyait. Sous l’effet du plaisir, Jean resserra sa prise sur mes cheveux. Cela me faisait mal mais d’un autre côté j’adorais ce qu’il faisait de moi. Le liquide visqueux et chaud empli ma bouche et se déversa abondamment sur mon visage. Après que Jean eu lâché ses dernières gouttes de foutre, je suçai tant bien que mal son gland, puis avalais l’ensemble de son nectar devant ses yeux ébahi. Je venais de découvrir une facette de moi-même que je ne connaissais pas !!!Je repris doucement son sexe en bouche et je ne pus m’empêcher de sourire en repensant à cette journée, si mal commencée mais si bien achevée. Jean me sourit en retour tout en se laissant sucer tendrement. Entre deux coups de langue, je le remerciais de son aide et lui fis promettre de ne jamais en parler à personne. Il me retourna les remerciements pour cette après-midi de folie et me fit promettre de recommencer cette expérience avec lui… ce que je ne pus refuser. D’ailleurs, j’avais bien du mal à arrêter de le sucer tant son sexe était appétissant. Il finit par reprendre du poil de la bête et nous passâmes le reste de la journée et une nuit très chaude en compagnie l’un de l’autre. Le lendemain, Jean repartit en m’embrassant tendrement sur les lèvres. Une fois la porte fermée je ne pus m’empêcher de penser que j’avais fait mon homme cocu avec l’ami de Tom mais les remords furent rapidement effacés.Jean revint souvent me rendre visite, jusqu’à ce qu’il fasse ta connaissance… »Ayant terminé son récit, Sabine se surprit une main sur son sexe. Levant les yeux, elle vit Sophie les pans de la jupe largement écartés, les mains entre ses cuisses. Elles se regardèrent et se sourirent…

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